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Du mardi 01 mars 2022


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Sommaire

Article 1 : MA FRANCE !

par Jean-Jacques REY

Article 2 : COMMENT SORTIR DE L'ÉPIDÉMIE ?

par Jean-Pierre COMBE

Article 3 : MALAISE SOCIAL ET SOUCI D’ORGANISATION

par Guy CRÉQUIE 

Article 4 : IMPERMANENCE ET MÉTHODE DE RAISONNEMENT

par Valérie FINCATO

Article 5 : ESPOIR ET RENAISSANCE : Nos vœux pour 2022

par MS21



Article 1





Photo de jeunes écolières levant la main en V.

Image composée de drapeau tricolore avec photos de Jean Ferrat et vues de villages.


MA FRANCE !
 
 
 

   Selon quelques spécialistes (dont épidémiologistes), le variant dit « Omicron » concernant la covid-19, qui résiste mieux aux vaccins, ciblerait en priorité les personnes vaccinées...Voilà badaboum en vaccinologie ! Et pendant ce temps Pfizer (siège social aux USA) et autres ténors de l’industrie pharmaceutique, mondiale, particulièrement dans le monde anglo-saxon, ils font fortune. On parle maintenant de quatrième dose de vaccin à prendre et on raccourcit le délai entre deux prises de dose, cela malgré de multiples mises en garde provenant des milieux médicaux dont celle de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Tout ça pour des résultats peu convaincants malgré une propagande intense et des restrictions de liberté, insoutenables : la pandémie devenue endémie sévit toujours, fortement, d’après les propres dénombrements et autres calculs statistiques, déversés à longueur de journée jusqu’à nausée, par nos gouvernements, surtout ceux occidentaux. On serait presque tenté de dire : cherchez l’erreur (c’est un euphémisme, bien sûr) !
Voir notes en bas de page.

   Comme j’ai écrit dans mon dernier ITL (Internet-Tribune-Libre), cette crise que nous vivons actuellement, est davantage politique que sanitaire ; donc, forcément, il y a quelque chose de louche là-dessous…et on peut tout imaginer !

   Ce gouvernement actuel, en France, est constamment dans la manipulation d’opinions et le mensonge. Il réussit assez bien dans cette entreprise, il faut le reconnaître ; mais il est suiviste, bassement opportuniste et copieur… : sans doute à la quête d’un improbable respect international. Je gage que l’on doit bien sourire à l’étranger, de voir de tels « foudres de guerre » jouer les oppresseurs avec leurs concitoyens. La seule chance qu’ait, l’équipe de Macron, d’échapper aux déconvenues, notamment lors des prochaines élections présidentielles, c’est que les classes populaires s’abstiennent de voter ; ce qu’ils se cachent à peine d’espérer…

   Oui, assurément, ce gouvernement bidouille des statistiques et nous manipule : entre autres avec ces chiffres… Je me demande s’ils ont bien compris la défiance et le peu de crédit que la population en France, dans son ensemble, leur accorde à ces avalanches numérales ? (...) Ainsi, ils entraînent avec eux, dans les abysses de la déconsidération, tous les courtisans et obligés de leur système : les mass media en particulier qui sont aux mains d’intérêts financiers…
Avec eux : parlant de ces politiciens véreux, secondés par des béjaunes idéalistes, qui forment le plus gros des bataillons de la « LREM », la démocratie, c’est en pratique :  « cause toujours, tu m’intéresses ! » … Ils ne respectent guère la différence d’idées, méprisent les divergences trop fortes, n’écoutent pas vraiment les objections valables, négligent les avis ou contournent même les décisions officielles qui ne leur sont pas favorables, n’hésitant pas à remettre le couvert sous d’autres formes ; ainsi font-ils, par exemple, avec la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés) ; le Conseil d’État ou le Conseil Constitutionnel : à qui, sont présentés souvent ces temps-ci, des appels et recours, s’agissant de leurs mesures traumatisantes, liberticides, obsédantes, à la limite d’une vision paranoïaque des événements, générant les comportements de la « Peur » qu’ils voudraient inculquer aux citoyens
; car ils sont politiciens perfides, eux-mêmes sous la pression d’opportunistes, de profiteurs et d’affairistes de toutes sortes. Et cela, malgré qu’ils aient leurs gens à eux et des sympathies bien établies dans ces institutions…
Voir notes en bas de page.

  
En fait, c’est devenu un véritable commerce, cette volonté affichée de mener une bonne politique sanitaire, susceptible de contrer la dite pandémie covid-19. Ma foi ! ils doivent s’inspirer de la ferveur pour les miracles à Lourdes ou ailleurs ! Et les voilà, ces bougres de « commerçants », ancrés dans leur conformisme bourgeois, qui sont toujours à parler de radicalité, de sectarisme, de violence ou d’extrémisme, chez le moindre opposant ou contestataire, qui soit repéré, déclaré et décidé. N’employons pas à ce propos, les néologismes si prisés des amateurs de stéréotypes.

   Des médecins le souhaitent, semble-t-il, pour assurer leurs revenus ; mais avec ces mous d’esprit, habités par des idéaux consuméristes et habitués au confort, on fait des nations d’hypocondriaques en Europe et dans tout le camp occidental par extension. Cornaqués par les fléaux de l’économie libérale qui investissent les réseaux d’influence et les médias, ce beau monde s’offre aux manipulateurs, prêt à perdre ses libertés pour un semblant de sécurité, qu’en réalité, nul ne peut garantir. Cette crise du covid en aura été une illustration parfaite.

   Certains de ces bourgeois et parmi eux, des plumitifs circonvenus, n’ont même pas eu la décence de rester neutres en évoquant du bout des lèvres, le décès récent du professeur Luc Montagnier : un éminent scientifique français qui a reçu le prix Nobel de Médecine en 2008, conjointement avec Françoise Barré-Sinoussi, pour la découverte du virus du SIDA. Ces rapporteurs faisandés n’ont pu cacher (ou pas su les masquer) leurs partis-pris et allégeances. Je trouve qu’ils s’inclinent bien bas pour lécher la gamelle (…) et ils entachent leur métier sans honneur. Ils ne savent même plus ce qu’est, le pluralisme de l’information, et voient des « complotistes » partout (j’ai quand même précisé le mot) ; surtout quand ceux-ci dérangent la doxologie et les poncifs… Beaucoup de ces plumitifs stipendiés devraient se reconvertir dans l’habillement et pas seulement de principes… La morale leur fait trop défaut pour ne jamais vaciller un jour dans leur posture, et, ils font tout pour s’enfoncer dans le discrédit, en faisant semblant de s’en étonner : plus aucune décence, dirai-je !

   Non ! décidément quelque chose cloche dans ce beau pays : « ma France ! » comme chantait, Jean Ferrat (dès mars 1969) . Ce pays est devenu un vaste cirque sanitaire. Il est en proie aux démangeaisons de ce qu’on appelle en langage populaire, des « trous-du-cul », qui n’ont de cesse de jouer les trouble-fête, imbus de leur personne et voulant faire oublier qu’ils sont une minorité, œuvrant pour une encore plus petite minorité : fraction de l’humanité qui met en danger beaucoup d'entre nous et dans la Nature, jusqu’aux conditions de vie futures.

   Alors, peuple de France, faites mentir ceux qui escomptent votre démission et résignation à ne pas s’occuper de vos affaires : aux urnes et en masse, pour ramener les trous-du-cul à leur dimension (ils se cachent peu de nous considérer comme tels). Il sera toujours temps d’employer d’autres arguments par la suite…

En fait, aucun contre-pouvoir ne fonctionne correctement ces derniers temps, et, nous allons voter sous état d’urgence (…) pour des élections cruciales : situation profondément anormale ! Il y a eu un détournement fabuleux des institutions avec cette histoire de pandémie.




Notes :

Covid, pass, vaccins,.. Elle nous dit tout.
Publié le 13 février 2022
covid-factuel.fr/2022/02/13/covid-pass-vaccins-elle-nous-dit-tout
"Ce mardi 8 février 2022, un ange masqué est passé dans le Sénat. .../... Le Docteur Alice Desbiolles est médecin de santé publique, épidémiologiste, diplômée de vaccinologie. Elle leur a parlé des indicateurs, des modélisations, de la situation en réanimation, du pass, du confinement, des masques, des vaccins,… avec un calme olympien, en s’appuyant uniquement sur les études de tous les organismes officiels, dont les conclusions vont à l’encontre de tout ce qui est fait. Du factuel, rien que du factuel, qui transforme tout le discours officiel en fake news, le tout sans polémiquer.
.../... Docteur Desbiolles, RESPECT ! Respect pour vos compétences, pour votre connaissance, pour la simplicité avec laquelle vous expliquez les choses. Respect pour votre courage, votre éthique, votre indépendance, votre respect de la science, de la médecine, et surtout des individus, malades ou non. Vous avez rétabli l’honneur de la médecine et des médecins, tombé bien bas depuis 2 ans. Merci."


Covid : pays plus vaccinés versus pays moins vaccinés
Publié le 23 décembre 2021 par lettreelectronique
lettreelectronique.wordpress.com/2021/12/23/covid-pays-plus-vaccines-versus-pays-moins-vaccines
"TrialSiteNews vient de sortir un article, intitulé « Enquête sur les tendances Covid-19 dans les 10 pays les plus vaccinés et les 10 pays les moins vaccinés ». Deux tableaux résument bien la situation, et se passent de commentaires, sinon celui-là : « On peut discuter de tout sauf des chiffres ». .../...
« La vaccination ne réduira pas l’épidémie » était en début d’année un discours de complotistes. Aujourd’hui, c’est plus clair et non complotiste, admis par tous : « La vaccination ne réduit pas l’épidémie ». Même le premier financier et premier défenseur de la vaccination, Bill Gates, le reconnaît." .../...

Emmanuel Macron, cinq années de surveillance et de censure
Publié 3 février 2022
laquadrature.net/2022/02/03/emmanuel-macron-cinq-annees-de-surveillance-et-de-censure

"A l’approche de l’élection présidentielle, nous revenons sur le bilan en matière de surveillance et de censure d’Emmanuel Macron, de son gouvernement et de sa majorité à l’Assemblée nationale.
Détailler le nombre impressionnant de textes législatifs ou réglementaires qui leurs sont dus et qui ont accentué la censure et la surveillance est un exercice sinistre. Il est néanmoins révélateur du monde fantasmé par les personnes au pouvoir et dans lequel elles veulent nous précipiter : un État et une police tout-puissants, ivres du pouvoir que leur promettent les nouvelles technologies, se plaçant au-dessus de la justice et de la contestation populaire et travaillant main dans la main avec une poignée d’entreprises sécuritaires pour surveiller et censurer tout et tout le temps.
En cinq ans, Emmanuel Macron, aussi bien par sa propre action que par celle de son gouvernement, ou par la domination qu’il aura exercée sur une majorité parlementaire entièrement dévouée, aura directement contribué au basculement, toujours plus rapide, toujours plus profond, vers une société sécuritaire reposant sur la surveillance et la censure, qu’elle soit d’origine étatique ou privée, les deux étant ici souvent mêlées." .../...




Des articles qui ont retenu mon attention :


Confinements et mesures «sanitaires» n’ont servi à rien selon le prestigieux Institut Johns Hopkins
· POLITIQUE SANITAIRE› Faits et chiffres› Science et recherche. Dernière mise à jour:4 février 2022
par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, référent en santé publique de Covidhub.ch



"Nous avons signalé depuis des mois la longue liste d’études montrant l’inutilité des mesures de contraintes dites sanitaires. La méta-analyse de cet Institut, une référence aux Etats-Unis, met en lumière deux ans de gestion du Covid infondée et désastreuse dans le monde.
L’article intitulé A Literature Review and Meta-Analysis of the Effects of Lockdowns on Covid-19 Mortality a récemment été publié dans la revue Studies in Applied Economics de l’Université Johns Hopkins. Il s’agit d’une méta-analyse qui a examiné dans quelle mesure les contraintes de mobilité et d’activité étaient bénéfiques pour réduire la mortalité liée au Covid-19.
Selon Joakim Book, qui a examiné cette étude pour le Brownstone Institute, les trois auteurs ont évité à la fois les écueils des recherches antérieures en faveur du confinement – exemple : « forcer les données à correspondre à un certain modèle » pour un résultat prédéfini – et les dangers des compilations antérieures contre le verrouillage, comme «amasser des preuves confirmant une certaine hypothèse plutôt que d’examiner de manière exhaustive comment l’ensemble des études se mesurent».
Les auteurs ont retenu 32 études évaluant l’impact des « mesures de contrainte » techniquement appelées Interventions Non-Pharmaceutiques (NPI en anglais).
Leurs conclusions de leur méta-analyse sont on ne peut plus claires :
    « Si (…) les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »
Ce constat englobant les « autres mesures » non-pharmaceutiques que le confinement : « Les études portant sur des NPI spécifiques (confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements) ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »
Entendons bien : les mesures de confinement, les fermetures des commerces, restaurants, entreprises et écoles, l’imposition du port du masque, les limitations des rassemblements et les fermetures des frontières n’ont eu aucun effet probant sur la santé publique tout en se montrant socialement, économiquement, culturellement et même sanitairement dévastatrices." .../...



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Lancement d’une commission d’enquête Covid-19: il est temps de se rappeler l’arnaque H1N1
Par Pierre Lécot et Florence Pisani
Mondialisation.ca, 06 février 2022



"Le Sénat [en France, le 20 janvier 2022 ] vient de lancer une commission d’enquête sur la gestion de la Covid-19. L’objectif annoncé est d’examiner « l’adéquation du pass vaccinal à l’évolution de l’épidémie de covid-19 ». Espérons que l’enquête se penchera plus profondément sur l’importance réelle de la crise et les impacts de toutes les décisions prises depuis 2 ans. Le Sénat avait déjà permis il y a 10 ans de faire la lumière sur le plus gros scandale sanitaire jusqu’à aujourd’hui : la pseudo pandémie H1N1. En effet, en 2009 a eu lieu la « première pandémie » du XXIe siècle. Cet épisode a finalement laissé peu de traces dans les mémoires. Pourtant, tous les ingrédients de ce qui s’est révélé être une arnaque monumentale devraient résonner aujourd’hui dans nos mémoires pour mieux nous faire comprendre ce que nous vivons. Après cet épisode, en 2010, le Sénat avait réalisé un rapport d’enquête parlementaire permettant d’expliquer les mauvaises décisions qui avaient été prises. Nous y retrouvons la critique des modèles mathématiques utilisés, farfelus et alarmistes, les conflits d’intérêts entre les scientifiques des plateaux de télévision, l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques, le tout ayant abouti à une campagne vaccinale aussi chère qu’inefficace.
“ Le désir de pandémie”
Le premier élément frappant du rapport du Sénat est le choix de ses titres. Ils dénoncent franchement la supercherie de la « pandémie » H1N1. La deuxième partie du premier chapitre s’intitule « LA PANDÉMIE ANNONCÉE EST-ELLE DEVENUE UNE PANDÉMIE ATTENDUE ? ». On y montre que certains scientifiques sont en fait, en attente d’une pandémie. Il s’agit d’être le premier à prévenir de l’arrivée de la catastrophe de façon à en tirer de la notoriété.
.../...
Aujourd’hui, la situation est la même. Tous les laboratoires sont focalisés sur la recherche du « nouveau variant » permettant de passer de l’ombre à la lumière. Evidemment, si tous les laboratoires concentrent leurs efforts sur ce sujet, il y aura toujours un laboratoire pour en trouver un nouveau quelque part et remettre une pièce dans la machine. Le dernier en date, le variant Omicron séquencé en Afrique du Sud aura fait couler beaucoup d’encre, d’autres ont précédé et d’autres suivront : cela apporte-t-il quelque chose à la prise en charge des patients ?
Le rapport du Sénat va plus loin. Il critique le fonctionnement des publications scientifiques, où les chercheurs sont poussés à écrire des articles qui vont « dans le sens du vent ». Dès lors, la recherche scientifique est orientée par un effet boule de neige.../...
Il résulte de ces différents mécanismes qu’il ne s’agit finalement plus de savoir SI la pandémie va se produire, mais QUAND, faisant de la pandémie de grippe à venir un événement à la fois très probable et lourd de conséquences. C’est la logique qui ressort de l’avis du HCSP du 5 septembre 2008 qui indique : « aujourd’hui, la probabilité de survenue d’une pandémie est élevée sans qu’il soit possible d’en prédire la date de survenue et son intensité ». L’arrivée d’une pandémie est perçue comme quasi inévitable.
La littérature scientifique ainsi auto-alimentée peut générer une prophétie autoréalisatrice. A force de produire des discours alarmistes, le moindre signal peut être identifié comme le début de la catastrophe prédite par les intervenants de ces publications renommées.
Le rapport du Sénat montre enfin que les laboratoires de l’industrie pharmaceutique “espéraient bien” une pandémie, puisqu’ils avaient lourdement investi préventivement pour y faire face .../... L’industrie pharmaceutique vise la rentabilité. Il ne s’agit pas d’organisations philanthropiques, mais d’établissements financiers. Il est évident que ses investissements n’ont pas lieu sans de sérieuses garanties de rentabilité future. Le point de vue de ces mastodontes économiques sur les enjeux de santé peut donc logiquement peser lourd dans les analyses des Etats, dont ils sont les partenaires réguliers de discussion et d’action en matière de santé publique.
.../...
En conclusion, la pandémie H1N1 est née d’un désir catastrophiste .../... Ce désir a été nourri par des politiques assujettis à leurs cabinets de conseil, par des laboratoires pharmaceutiques voulant rentabiliser leurs investissements, par des scientifiques désirant voir leurs compétences promues, par des médias arrimés aux agences de presse et aux communiqués de presse des personnes influentes.
Tout ce petit monde fonctionnait en 2009, il carbure plein pot depuis 2020. 
A l’époque du H1N1, La vaccination de masse avait été présentée comme le seul outil à disposition, et cela s’était soldé par un démenti magistral.
10 ans plus tard, nous avons les mêmes ingrédients, les mêmes protagonistes, qui reproduisent le même schéma. Ils ont été plus violents, en jouant sur la sidération, en imposant le confinement strict de mars-avril et la désorganisation du système de soins, en terrorisant les gens grâce à l’obligation du port du masque  – qui fait croire que l’autre est dangereux et risque de nous tuer en respirant. On ne peut qu’imaginer l’impact à long terme d’une telle croyance, en particulier pour les enfants.  Ils ont enfin organisé un contrôle permanent des individus sous le prétexte de les protéger. 
Ecrire un nouveau rapport parlementaire ? Le plus simple serait de reprendre celui concernant le H1N1, en changeant le nom de la maladie.
En revanche, cette fois-ci il serait bon que le rapport devienne opérationnel, pour éviter aux Français une troisième dose de totalitarisme sous prétexte sanitaire." .../...



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Israël - The Testimonies Project : les victimes des effets secondaires du vaccin anti-Covid-19 font entendre leur voix
03/01/2022 (avec vidéos)

kla.tv/21103


"Le projet Témoignages a été créé pour fournir une plate-forme à tous ceux qui ont été touchés après avoir reçu les vaccins contre le covid-19, et pour s’assurer que leurs voix sont entendues, car elles ne sont pas entendues dans les médias. Nous espérons que ce projet encouragera de plus en plus de personnes à raconter leur histoire.
« The Testimonies Project » (projet Témoignages) est un projet consacré au recueil de témoignages sur les effets secondaires consécutifs à la vaccination anti-Covid-19 en Israël.
Le pays a été pionnier dans le recours à la vaccination (essentiellement avec le produit Pfizer). Il est – tragiquement – pionnier également en ce qui concerne les effets secondaires graves voire mortels.
Médias, classe politique, autorités sanitaires ont refusé d’en parler. Mais le nombre de victimes de cette vaccination devient tellement important que des citoyens ont décidé de collecter les témoignages ; beaucoup des victimes souhaitent rester anonymes mais il y a eu cependant assez de personnes pour faire un documentaire.
Ce film d’une durée d’environ une heure donne la parole aux patients et leurs proches, qui ont vécu les effets indésirables du vaccin Pfizer.
La peur d’éventuelles représailles l’a emporté sur le désir de transmettre et dissuader ceux qui s’apprêtent à se faire vacciner. Ou conforter les récalcitrants soumis à une forte pression sociale. Le vaccin anti-Covid-19 utilisé en Israël est à l’origine de lourds effets secondaires pour de nombreux patients : Accidents cardio-vasculaires ; Troubles de la menstruation ; Saignements et fausses couches ; Maladies neurologiques ; Déclenchement de maladies auto-immunes …Etc…
…Est-il besoin de préciser que la société israélienne est l’une des plus avancées du monde en matière éducative et scientifique ? C’est précisément l’amour de la connaissance et la confiance dans la science qui ont poussé ces personnes à témoigner pour dire les méfaits d’injections qui n’ont pas été testées suffisamment et alerter sur la légèreté d’autorités sanitaires qui font passer le profit des uns et le pouvoir des autres avant la santé des individus.
Israël nous est toujours présenté dans les médias comme un pionnier dans la lutte contre les pandémies. Le pays a vacciné plus rapidement et plus tôt que tous les autres. Dès février 2021, le « passeport vert » numérique a été introduit. Par conséquent, pour les citoyens israéliens, de nombreux domaines de la vie publique ne seront plus accessibles qu’avec une preuve de vaccination ou de guérison. De nombreuses personnes se sont fait vacciner pour pouvoir à nouveau aller au théâtre ou au cinéma. Beaucoup ont eu besoin de se faire vacciner pour pouvoir aller travailler. De nombreuses personnes n’ont pas résisté à la pression publique, car la société les considère comme des terroristes et attise la haine à leur égard. Les politiques et les médias présentent cette action de l’État comme un succès dans la lutte contre la crise du Covid.
Les réseaux sociaux donnent toutefois une autre image de cette campagne de vaccination. Des milliers de personnes font état d'effets secondaires très graves liés à la vaccination, allant jusqu'à la mort. La population n'en entend pas parler. En Israël, il n'existe pas de service officiel de déclaration des effets secondaires des vaccins auquel les personnes concernées pourraient s'adresser. Elles sont abandonnées par l'État.
Cela a inquiété Avital Livny, mère de deux enfants, car elle et ses enfants doivent également être vaccinés. Elle s'est mise à la recherche de ces personnes souffrant de séquelles dues aux vaccins et a rendu leur souffrance publique. Elle a trouvé 40 personnes courageuses prêtes à montrer leur visage et à raconter ce qu'elles avaient vécu après avoir été vaccinées. Il en a résulté un film d'une heure profondément émouvant, intitulé "Le projet de témoignages". Dans ce film, chacun peut désormais se rendre compte des conséquences dramatiques que les vaccins ont déjà eues jusqu'à présent. Sur la page Internet qui s'affiche à l'écran [ vaxtestimonies.org/fr/ ] Mme Livny recueille d'autres témoignages et déclare à ce sujet : "Avec notre projet, nous voulons offrir une plateforme à tous ceux qui ont subi des dommages à cause du vaccin Covid-19. Nous voulons faire en sorte que leurs voix soient entendues. Elles ne le seront pas par nos grands médias. Nous voulons ici vous encourager à raconter vos histoires - Vous n'êtes pas seuls !" .../...


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Le British Medical Journal exige la publication immédiate de toutes les données relatives au vaccin Covid-19 et aux traitements
26 janvier 2022. Rédaction Strategika



Source : epochtimes.fr – 20 janvier 2022 – Katabella Roberts
"Le British Medical Journal (BMJ) a exigé la publication complète et immédiate de toutes les données relatives aux vaccins et aux traitements Covid‑19, affirmant qu’il en va de l’intérêt du public.
Le BMJ, une revue médicale hebdomadaire évaluée par les pairs et publiée par le syndicat British Medical Association, a demandé la publication des données dans un éditorial publié mercredi.
« Aujourd’hui, malgré le déploiement mondial des vaccins et des traitements Covid‑19, les données anonymes sur les participants qui sous‑tendent les essais de ces nouveaux produits restent inaccessibles aux médecins, aux chercheurs et au public ‑ et il est probable qu’il en sera ainsi pendant des années encore », a déclaré le BMJ. « C’est moralement indéfendable pour tous les essais, mais surtout pour ceux qui impliquent des interventions majeures de santé publique. »
Le BMJ a également accusé les sociétés pharmaceutiques de « récolter de vastes profits sans examen indépendant adéquat de leurs allégations scientifiques », en pointant du doigt Pfizer, dont l’essai du vaccin Covid a été « financé par la société et conçu, dirigé, analysé et rédigé par des employés de Pfizer ».
La société Pfizer, dont le siège est à New York, détient toujours les données de l’essai et a indiqué qu’elle ne commencera à examiner les demandes de données qu’en mai 2025, soit 24 mois après la date d’achèvement de l’étude primaire, fixée au 15 mai 2023, qui figure sur ClinicalTrials.gov.
Entre‑temps, la Food and Drug Administration (FDA) avait demandé à un juge de lui accorder 75 ans pour produire toutes les données concernant le vaccin Pfizer et BioNTech.
Cependant, un juge a ordonné au début du mois que la FDA rende publiques, d’ici la fin du mois, 12 000 pages de données qu’elle a utilisées pour prendre des décisions concernant l’approbation du vaccin Covid‑19 de Pfizer/BioNTech. La FDA doit également publier les données de Pfizer sur le vaccin à raison de 55 000 pages par mois jusqu’à ce que toutes les pages demandées soient publiques.
Le BMJ a également noté qu’AstraZeneca a indiqué qu’elle pourrait être prête à répondre aux demandes de données provenant d’un certain nombre de ses essais de phase III. Toutefois, la société, dont le siège est à Cambridge, indique que le délai d’obtention de ces données peut « varier selon la demande et peut prendre jusqu’à un an après la soumission complète de la demande d’analyse, de décision, d’anonymisation et de partage des données ou documents demandés ».
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Le BMJ a ajouté que les régulateurs ne sont pas là pour « danser au rythme des riches sociétés mondiales et les enrichir davantage », mais pour protéger la santé du grand public et pour cette raison, nous avons besoin « d’une transparence totale des données pour toutes les études, nous en avons besoin dans l’intérêt du public, et nous en avons besoin maintenant. »
En décembre, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont également été poursuivis en justice par l’Informed Consent Action Network (ICAN), qui leur reproche de ne pas communiquer au public américain les données relatives à la sécurité du vaccin Covid‑19.
L’ICAN demande aux CDC de fournir des données de sécurité post‑licence dépersonnalisées pour les vaccins Covid‑19 dans le système v‑safe des CDC afin d’assurer la transparence avec le grand public concernant les affirmations des CDC et de l’administration Biden selon lesquelles les vaccins Covid‑19 sont « sûrs et efficaces« .
Le British Medical Journal est l’une des plus anciennes revues de médecine générale au monde, fondée en 1840, et bénéficie de la liberté éditoriale de la British Medical Association." .../...



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Chine : La surveillance biométrique s’intensifie
07/11/2020



"L’utilisation de la biométrie en Chine pour la surveillance ne cesse d’augmenter, selon un rapport de Chinafile, une organisation à but non lucratif, publié après l’analyse de plus de 76 000 documents du gouvernement chinois.
Ces documents détaillent la récente intensification du régime de surveillance de la Chine dans le contexte de la pandémie, visant à atteindre une couverture nationale à 100 % cette année. Cet objectif a été annoncé dans le cadre du projet Sharp Eyes, un programme de surveillance de masse mis en place par le gouvernement en 2018.
Les achats de technologies de reconnaissance faciale sont en hausse, rapporte Chinafile, tout comme les systèmes de vidéosurveillance. En 13 ans (2006-2019), les autorités du district de Xiqiao ont acheté 1 400 caméras, dont 300 à reconnaissance faciale, selon les documents.
Chinafile souligne que la surveillance gouvernementale traditionnellement secrète devient maintenant plus ouverte suite à la réponse du contrôle de la COVID-19. En effet, le système de traçage exige que les gens participent en fournissant des informations sur leurs activités quotidiennes, en fournissant volontairement plus de données que la surveillance vidéo ne pourrait en recueillir. Comme dans d’autres parties du monde, la Chine utilise des QR codes et d’autres moyens de localisation des citoyens pour surveiller la propagation du virus.
Le rapport décrit l’accent mis par les documents sur les menaces en plusieurs points. La région de Xiqiao cherche à identifier les menaces telles que le terrorisme, en mettant en place des caméras dans les zones touristiques, notamment 10 sur le seul mont Xiqiao, qui est fréquenté par 5 millions de personnes par an.

Actuellement, dans le comté de Luchuan au Guangxi, la police utilise la reconnaissance faciale pour détecter les fraudes à l’identité. Le Bureau de la sécurité publique avait recherché une technologie capable de discerner les dissimulations comme les chapeaux, les masques, les lunettes, les lunettes de soleil, les perruques et les fausses moustaches. Alors qu’au Xinjiang, les profils à risque des individus peuvent être établis à partir de la pilosité faciale, de la taille de la famille et du nom d’une personne. Les méthodes de suivi non biométriques utilisées comprennent l’obligation de présenter une carte d’identité pour le ravitaillement en carburant des véhicules.
Les documents révèlent que trois autres provinces ont également cherché une technologie de reconnaissance faciale qui peut déterminer spécifiquement l’ethnicité ; signalant la population ouïghoure comme étant un intérêt pour les autorités dans ce cas. Une caméra en mode de capture hybride permettrait d’établir un lien entre les images faciales et les véhicules enregistrés des individus. Un projet de déploiement de caméras à imagerie thermique a également été signalé.
Le rapport de Chinafile met en évidence les objectifs du gouvernement d’installer des caméras dans tous les aspects de la vie sociale, couvrant des domaines particuliers qui intéressent les autorités. Cependant, les détails du fonctionnement du réseau de surveillance national restent ambigus." .../...






sommaire_1


Article 2

Transmission personnelle le 09/02/2022 d'un article par Frédéric BOUTET
Site : p-plum.fr






Image satirique avec tête d'enfant, QR code, masque et carte de fidélité.

Affiche résumant les effets du vaccin pour les vaccinés.


COMMENT SORTIR DE L'ÉPIDÉMIE ?
 
 
 L’épidémie de covid : à la recherche de la vérité


Par Jean-Pierre Combe
 

Devons-nous renoncer à conduire notre propre vie ?

     Certains de nos compatriotes disent que la vaccination est un choix collectif dans une société : ils expriment ainsi leur opinion que la collectivité est en droit de contraindre ses membres à se faire vacciner.

     Mais alors, comment la société peut-elle mettre en loi ce « choix collectif » ? Les législateurs auront les plus grandes difficultés à rédiger un texte qui transcende les contradictions d’un tel « choix collectif » avec les caractéristiques médicales individuelles, les droits individuels des membres de la société, et qui s’applique aux vaccins développés contre toutes les maladies, qu’il ne faut pas utiliser tous de la même manière !...

     Il faut reconnaître que dans une société civilisée, confrontée à une maladie contagieuse, le choix collectif, réfléchi et documenté, est celui de mettre un vaccin au point ; mais nous devons maintenir que même devant cette maladie, le choix de se faire vacciner reste individuel, et le choix de faire vacciner les enfants appartient à leurs parents : la collectivité n'a jamais à vacciner quiconque d'office, ni à vacciner tout le monde !... Entre le choix de mettre au point un vaccin ou plusieurs, qui incombe à la collectivité, et le choix de se faire vacciner et de faire vacciner les enfants, il y a l’obligation pour la médecine, qui agit sur la dimension collective en même temps que sur la dimension individuelle, de bien documenter chaque patient sur le ou les vaccins qui leur sont proposés, de bien éclairer leur choix au cours d’un dialogue qui fait partie du « colloque singulier » que tout médecin doit avoir avec chacun de ses patients, et de respecter la décision du patient ou, si le patient est un enfant, de ses parents, à laquelle aboutit le « colloque singulier ».

     Telle est la seule manière dont une société peut respecter tout à la fois les droits humains et civiques, votés en France en 1 789 et renouvelés en 1 793, et le serment d’Hippocrate des médecins, qui est plus vieux d’environ deux millénaires.

     Faut-il balayer les doutes, nés de l’incompétence et de la corruption rendues visibles par la politique sanitaire du gouvernement français, et considérer que nous sommes devant un cas de force majeure pour rendre la vaccination obligatoire dans notre pays ?

     L’incapacité de l'exécutif français à isoler, à soigner et à tester de façon systématique et scientifique les foyers infectieux, a-t-elle fait tomber toute limite à la propagation du virus au point que nous ne pourrions connaître son extension que par l’observation de l'encombrement des hôpitaux, qui retarde de deux semaines sur le début de l’infection individuelle ? Est-ce là la raison pour laquelle « rien n’est maîtrisé », et, est-ce que de ce fait, le vaccin est le seul recours ? Et donc que le vaccin devrait être obligatoire ?


Matériellement : connaît-on vraiment la situation sanitaire ?

     L'exécutif français, contrairement à toute science, a enjoint aux médecins généralistes de proximité de ne pas soigner leurs patients et aux malades, de ne pas faire appel à leur médecin ; de s'isoler sans soins et d'attendre les symptômes de l'aggravation pour, alors seulement, appeler le service de médecine d'urgence. Il a ainsi interdit que l’on soigne les malades et s'est lui-même  rendu incapable d'observer l'épidémie ; dans le même temps, il nous privait de la perspective de nous soigner avant que la maladie devienne grave ; il a fait appliquer ces décisions mauvaises et criminelles en nous terrorisant ; c’est ainsi qu’il a causé toute cette crise, que prolonge aujourd’hui le maintien (très artificiel) de la terreur créée pendant le premier trimestre 2 020...

     Cette terreur est maintenue par le rappel incessant du dogme selon lequel aucun traitement prophylactique de cette maladie n'existerait : or ce dogme ne repose sur aucune réalité médicale, sur aucune observation scientifique ; en fait, il est et a toujours été totalement faux...


Beaucoup de scientifiques français réfutent le caractère scientifique des principes fondateurs de la politique sanitaire française !...

     Je suis de ceux qui ont fait des études scientifiques supérieures et qui ont vu immédiatement que les principes, sur lesquels est fondée la politique sanitaire du gouvernement français, sont étrangers et contraires à toute science !

     Dès le début de la « guerre du coronavirus », quelque trois mille médecins et soignants, rebelles aux directives de ce gouvernement, ont signé une pétition (« laissons-les prescrire ») et se sont organisés pour diffuser en France une information juste et vérifiée sur la maladie, sur l'extension de son épidémie et sur les moyens à notre disposition pour ne pas tomber malades si nous sommes contaminés, pour guérir de cette maladie en nous soignant dès les quatre ou cinq jours après que les premiers symptômes soient apparus, et pour guérir sans passer par la réanimation si l'hospitalisation est nécessaire...: cette information est toujours accessible sur le site « REINFOCOVID ».

     Dernièrement, nous avons été plus de mille deux cent habitants de ce pays, titulaires de diplômes scientifiques de haut niveau, à signer un texte dénonçant « la nouvelle religion vaccinale » : chacun des signataires de ce texte possède au moins autant de titres les habilitant à parler en tant que scientifiques que n'en possède chacun des membres du comité secret dit « scientifique de défense » auprès duquel le président Macron prend ses conseils pour « gérer » cette crise !...


Comment mettrons-nous fin à cette épi-pandémie ?

     L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) nous a déjà prévenus que ce n’est pas grâce aux produits expérimentaux vendus sous le nom de « vaccins » par les sociétés Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zénéca que la pandémie prendra fin.

     Ce qui mettra fin à cette épidémie en France, c'est :

        •   la restauration de la capacité de ses habitants de se soigner en recourant aux soins d'hygiène renforcée que nous enseignaient nos grand-mères ;

        •   le recours des malades aux médecins généralistes de proximité ;

        •   le bénéfice de la vaccination par la maladie elle-même des malades qui en ont été guéris ; que ce soit du seul fait de leurs défenses immunitaires, personnelles, ou parce que les soins qu'ils ont reçus, ont renforcé leurs défenses dans la lutte de leur corps contre l’infection ;

        •   Le recours sur prescription médicale à des vaccins de type classique, comme le sont, les vaccins chinois, cubains, ou celui de la société franco-autrichienne Valneva ;

        •   le rejet des produits expérimentaux de l’ingénierie génétique que sont les produits, que nous vendent sous l’appellation trompeuse de « vaccins », les sociétés Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zénéca.

        •   La fin des interdictions arbitraires opposées à diverses médications connues et déjà totalement maîtrisées par les médecins de notre pays...


Le 21 janvier 2022,
Jean-Pierre COMBE







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Article 3

Envoi personnel du 13/02/2022 d'un article par Guy CRÉQUIE
Site : guycrequie.blogspot.com






Image de manifestants défilant pour de multiples causes.

Image satirique pour dérive sécuritaire liée à la pandémie de covid 19.


MALAISE SOCIAL ET SOUCI D’ORGANISATION
...
 
 
LE MALAISE SOCIAL EST RÉEL = LE SOUCI EST L’ORGANISATION EFFICACE DE LA COLÈRE !
 


Des manifestations de rue et des convois de véhicules appelés : « De la liberté » se sont déroulées ce samedi 12 février [2022].

La Difficulté est ce constat d’une spontanéité qui mobilise et qui rassemble des personnes de lieux divers, de catégories sociales disparates, et cette mobilisation émane de : des réseaux sociaux avec l’expression entre autres de Gilets jaunes ; d’un mouvement plus que droitier « Les Patriotes » ; de groupes extrémistes divers ; et ; de simples citoyens qui cherchent à exprimer leur colère.

Les revendications sont diverses ; cependant, il apparaît, dominant la demande de suppression des pass sanitaires et vaccinaux, des revendications sociales, liées au pouvoir d’achat : avec la hausse extravagante du prix des carburants, de l’énergie pour se chauffer et consommer, [plus] celle des produits de première nécessité…. Le tout exprime un mal être et ce, à moins de deux mois de l’élection présidentielle.

Les manifestants s’expriment en dehors des organisations syndicales par défiance [et] doute de leur efficacité, par peur d’être dirigés, orientés. Leur conception de la liberté est individuelle et s’agrège avec celles d’autres qui partagent leur conception, et ainsi, au final, il s’en traduit un collectif d’émotions et de malaise social.

[Comme cela], au lieu de rejoindre le mouvement syndical, ils se lancent dans des aventures spontanées, ouvertes à tous les mots d’ordre et leurs formes.

Même si comme observateur social, à titre personnel, je suis syndiqué et, justement dans ce contexte, j’ai estimé nécessaire de l’être ; mais comme observateur social = j’exprime un avis motivé : l’irruption des réseaux sociaux a considérablement modifié la donne sociale, et, l’évolution n’est pas achevée. Également, le télétravail (et ce n’est pas le sujet de cette contribution) va poser de sérieux soucis à l’organisation collective des salariés s’il se développe.

Simplement, la réalité sociale, actuelle, est une sérieuse interpellation au mouvement syndical, actuel, et à sa survie ! Saura-t-il capter, entendre et faire adhérer les personnes qui se détournent de lui ?

Je l’avais indiqué : le gouvernement actuel et son Président, en minorant ou ignorant les confédérations syndicales, porte sa responsabilité dans cette situation comme celle de la responsabilité des grands groupes. Dans cette situation, ma proposition n’a rencontré aucun écho, y compris au sein des organisations syndicales. Je m’étais prononcé pour la syndicalisation obligatoire dans des formes modernes d’adhésion qui échappent à l’employeur avec les nouvelles technologies.

Présentement, à l’aide de quelques clics sur Internet, des personnes agrègent leur colère, provoquant un fait social par des expressions inédites de manifestations, sous des formes originales et selon (convois, points de rassemblement dans des carrefours, co-voiturage…).

Ce qui caractérise ce type de manifestation = c’est l’absence de leaders désignés ou élus, pas de mots d’ordre collectif élaboré, décidé, et ensuite partagé, pas de service d’ordre organisé.

Le mouvement syndical saura- t-il = non pas récupérer, mais traduire dans ses formes d’expression ce mécontentement en l’orientant vers des revendications organisées, permettant de bien repérer les attentes et de les exprimer et rassembler ?

~o~

La disproportion des moyens mis en œuvre par le gouvernement pour bloquer ce type de manifestations est critiquable ! Plus de 7000 gendarmes, CRS, brigades d’intervention, mobilisés… À ce dispositif, s’ajoute, l’usage de gaz lacrymogène, des canons à  eau, la présence de blindés, des camions pour enlever les voitures et les conduire à la fourrière…. Les grands moyens sont toujours dispensés pour les manifestations sociales, y compris à ambition pacifique.
Si auparavant la période pré-électorale conduisait à une sorte de trêve des confiseurs les semaines précédant l’élection, avec de telles manifestations spontanées : ce schéma peut voler en éclats ; mais rien n’est certain ! Il n’y aura pas forcément une pause sociale avant les élections présidentielle et législatives.
La conjonction des privations, restrictions, libertés entravées, liées à la pandémie avec l’exaspération sociale = c’est trop !

Le gouvernement aurait tort de rester inactif ou de se contenter de mesurettes = quelques chèques distribués par ci par là et ignorant toujours les couches moyennes. Des mesures d’incitation doivent être adressées au MEDEF. Les employeurs dans les branches d’industrie et les entreprises doivent ouvrir les négociations avec leurs syndicats. Les allocations versées aux sans emploi sont à revaloriser.

La situation des retraités est insupportable : leur niveau de vie est agressé depuis des années, leur pension ne suit pas la hausse des prix, beaucoup ont connu la hausse de la CSG. Une inflation à 4% serait insupportable. Avec le prix de l’essence, de l’énergie, celui du logement pèse anormalement dans le budget des ménages.

Le Président MACRON tarde volontairement à se déclarer candidat à l’élection présidentielle, évoquant sa charge : la situation internationale, la pandémie, les hausses de prix, (…) surtout, il veut éviter la confrontation d’avant premier tour avec les autres candidats. Mais alors = justement : qu’il utilise son rôle jusqu’au bout pour soulager nos concitoyens de leurs difficultés.

Mépris social et injustice sociale sont les deux maux ressentis par bien des Françaises et des Français ! Les profits des entreprises du CAC 40 sont fabuleux, les taxes du gouvernement sur le carburant sont de plus en plus impopulaires ; que le gouvernement agisse = voilà l’urgence !


© Guy CRÉQUIE
( nom de scène : GIL CONTI )
à écouter dans site musical international :
gilconti.bandcamp.com

Ancien dirigeant syndical
Écrivain – observateur social
[et chanteur]
Nota : en attente d’édition pour « Après la pandémie de la Covid-19 et après ? »
aux Éditions du Lys bleu, Paris, en mars ou avril 2022,
(ouvrage qui traite des incidences post sociétales de cette pandémie en France et de par le monde).








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Article 4

Envoi personnel du 04/02/2022 d'un article par Valérie FINCATO






Image composée avec seringue, flacon de vaccin et chiffre 3.

Image composée avec femme veillant un enfant sur fond multicolore.


IMPERMANENCE ET MÉTHODE DE RAISONNEMENT
 
 
De l’impermanence de l’instant à la méthode de raisonnement
 

   La crise sanitaire touche toutes les générations. Elle est le lieu d’un questionnement permanent sur ce que nous devons faire au quotidien ; sur ce qui est le plus adapté pour que chacun, chacune, puissent s’épanouir de manière cohérente dans un monde en changement ; sur ce qui est le plus bénéfique pour nous. Elle a ainsi remis au goût du jour une donnée issue du monde scientifique que bon nombre d’entre nous connaissent bien : le rapport bénéfices/risques.

   Alors comment mettre en œuvre ce rapport, lui donner une légitimité, un ancrage dans le réel ? Peut-être en questionnant notre entourage (de tout bord), en dialoguant de façon constructive pour apporter un mieux-être général sur des sujets encore difficiles d’interprétation. Pour avoir participé au Conseil consultatif lyonnais covid, de décembre 2020 à octobre 2021, je peux dire que les débats ont été menés avec enthousiasme, toujours dans une volonté de bien faire. Le thème « proche », choisi au départ, nous a rassemblé, dans la discussion, dans la famille, dans les lieux de vie. Nous avons pris plaisir à l’envisager sous différents angles possibles. Mais surtout nous l’avons appliqué à nous-mêmes et aux personnes que nous aimons. Les décisions ont ainsi été prises en bonne entente entre les membres d’une même famille. Chacun, chacune, a apporté son point de vue sur le sujet.

   Scientifique de formation, ayant travaillé dans le monde biomédical, il est sûr que j’ai avant tout une culture et des habitudes de scientifique. Je suis allée me faire vacciner (deux doses de Pfizer) pour protéger mes parents et mes enfants ; car il n’était pas question de les laisser loin de moi. Si nous avons bien entendu respecté « les gestes barrières » avec mes parents (en raison de leur âge) ; nous nous sommes permis plus de souplesse avec mes enfants. Impossible pour moi de ne pas les prendre dans les bras. Comment réagir quand un enfant est content de vous voir et vous saute dans les bras ? « Non, reste à distance, il y a le covid » (!?) Le toucher, premier acte de vie des parents avec leurs enfants, est à mon sens signifiant. Ayant pratiqué le « peau à  peau » avec mes enfants à leur naissance, comment ne pas prolonger cet état de bien-être dans d’autres gestes quand ils grandissent. Se connecter en corps à son enfant, c’est le calmer, c’est l’apaiser, c’est le rassurer. Les gestes enveloppant dans la douceur, porteurs de tendresse, sont eux-mêmes des gestes de soin. Les hormones de bonheur ne sont pas bien loin. N’oublions pas les bienfaits de l’ocytocine !

   Peut-être qu’une réflexion plus approfondie sur le vocable employé en crise sanitaire pourrait nous aider. "Gestes barrières" : est-ce vraiment le bon terme à employer ? À quelles images, renvoie-t-il ? Des nuances, des précisions sémantiques, sont certainement utiles. Le choix des mots me semble tout aussi important ; car il fait appel bien souvent à un inconscient collectif que nous ne maîtrisons pas toujours. Qui peut se prévaloir de tout maîtriser ? Personne en réalité. Nous ne maîtrisons que ce qui dépend de nous. Et notre part est bien infime à vrai dire au regard de l’univers qui nous entoure.

   J’ai reçu ma troisième dose en janvier (j’ai choisi le "Moderna"). Un cocorico venu d’outre-atlantique, refuge des scientifiques français qui ont le vent en poupe ? Ou plutôt le bonheur de pouvoir faire leurs recherches avec les moyens nécessaires ? J’ai surtout fait ma troisième injection à la demande de mes enfants. J’ai pris le parti de me vacciner moi en priorité pour protéger mes proches (enfants et parents). Cette décision a allégé le mental de ceux-ci, sans compter un  bien-être émotionnel, favorable, porteur de sens. Ce qui n’a pas empêché mon entourage d’aller également se faire vacciner ; ce qui n’a pas empêché non plus un de mes enfants d’attraper le covid. Mais là, les décisions ont été prises par chacun, chacune, en son âme et conscience. Je n’ai pas interféré sur leurs décisions, estimant que chacun, chacune, ils étaient libres de choisir de se faire ou non vacciner. La liberté de choix me semble en fait une valeur importante tant qu’elle n’empiète pas sur la liberté de l’autre. Car nous vivons en société et la responsabilité collective me semble toute aussi importante.
 
   C’est bien là toute la question des lieux de vie. Vie en collectivité, vie en famille, vie en société… Je vis comment "bien" avec les autres ? La notion de "bien commun" est sans doute à revisiter. Je suis d’accord que les débats font rage sur les plateaux de télévision. Cette débâcle (désolée je ne trouve pas d’autre mot pour l’instant) politique nous offre un spectacle des plus affligeants. À commencer par ces insultes [grossières] qui sont bien loin d’élever le niveau littéraire. Déjà que la France sombre dans le classement au niveau de l’éducation nationale ! Les parents ont passé du temps pendant la crise sanitaire à faire la classe à leurs enfants, à domicile ; enfin ceux qui le pouvaient. Combien d’élèves ont été laissés pour compte ? Combien ont décroché ? Est-ce que l’on en parle ? Combien se sont retrouvés dans les hôpitaux ? Quel avenir pour eux ? Qu’est-ce qui est mis en place pour qu’ils retrouvent le goût de la famille ? Car, famille, il y a à la maison ; famille, il y a à l’école… . Le concept de "famille" peut-il se démocratiser en France ? Peut-on regarder le monde de manière autre ? Faire un pas de côté pour regarder de manière autre ? Prendre le temps d’observer, de penser, de se questionner, d’entourer, d’agir dans la bienveillance et la bientraitance. Soigne-t-on le symptôme ou l’être humain ? Qui prend le temps de parler posément et calmement ? Peut-être qu’un ralentissement collectif serait le bienvenu. Peut-être même qu’il est parfois nécessaire de s’arrêter pour mieux penser.

 

Le 4 février 2022,
Valérie FINCATO
Auteur






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Article 5

Signalement personnel le 02/02/2022 d'un article par MS21
Site : ms21.over-blog.com





Image humoristique reprenant affiche du film -la Mort aux trousses- avec un avion portant 2022.

Affiche composée avec infirmière et mots sur causes et symptômes de mal être...


ESPOIR ET RENAISSANCE
 
 
Nos voeux pour 2022
 


Source : ms21.over-blog.com/2022/02/nos-voeux-pour-2022.html

Publié le 2 février 2022 par MS21


Qu’espérer pour 2022 ?

Les années passent et se ressemblent dramatiquement... Depuis 2020, le déclenchement de la pandémie de COVID 19 a accentué la crise mondiale, latente, et  les populations ont été durement touchées, non seulement par la maladie, mais aussi par l'accroissement du chômage, de la précarité et de la pauvreté : liées à la crise économique concomitante. Ainsi, sept millions de français, soit 10% de la population, ont recours à l'aide alimentaire. « En même temps », depuis 2020, la fortune des milliardaires a augmenté de 5 000 milliards, une hausse sans précédent de 60% en 2 ans. Cherchez l'erreur…

 En vérité, nous le savons bien, le capitalisme ne s'arrêtera jamais dans sa course folle au profit et à l'exploitation des hommes et des ressources naturelles. Il est dans sa nature même de s'étendre à l'infini dans tous les secteurs de l'existence humaine et sur chaque parcelle de notre fragile planète. L'impérialisme et la prédation sont consubstantiels au capitalisme. La « guerre contre les peuples » (titre de notre premier livre) ne peut que s'intensifier, car « le capitalisme porte la guerre comme la nuée porte l'orage » (Jaurès). Nous en avons encore une sinistre illustration en ce moment avec la surenchère belliqueuse menée par les USA et l'OTAN contre la Chine et la Russie. Le "docteur" JoeFolamourBiden et ses supplétifs de l'U(nion) E(uropéenne) sont prêts à risquer la Troisième Guerre Mondiale pour satisfaire leur logique impérialiste ! Mais ce système est en difficulté ; car il peine de plus en plus à convaincre le peuple de ses bienfaits. Et quand il n'y a plus de carottes, il ne reste plus que le bâton... Nous constatons de ce fait une inflation de dispositifs sécuritaires destinés à contrôler les populations récalcitrantes. L'épidémie de COVID 19 a été une bonne opportunité pour les pouvoirs, en France, ou ailleurs, d'étendre le domaine, déjà riche, des lois de contrôle social. Le passe vaccinal a ainsi été imposé en France, sans réel débat ; alors que d'autres choix auraient été possibles pour combattre la pandémie.

 Tout ce chaos favorise l'émergence de forces politiques, identitaires, qui cherchent à capter les angoisses populaires à leur profit. L'extrême-droite instrumentalise la laïcité afin d'imposer ses obsessions xénophobes et anti-musulmanes. Symétriquement, une partie des organisations qui se réclament de la Gauche, a abandonné la laïcité pour une compromission suicidaire avec les forces réactionnaires de l'islamisme, ceci à des fins électoralistes. Les élections présidentielles et législatives à venir ne semblent pas pouvoir faire émerger une force politique réellement alternative. Le jeu électoral est verrouillé par la propagande médiatique et la mainmise de l'oligarchie sur les institutions.   

Dans ce contexte inquiétant, le MS21 ne veut pas céder à la désespérance. Les forces de résistance qui ont animé la contestation depuis 2018, notamment les Gilets Jaunes, n'ont pas disparu. Elles ont été mises en veilleuse par la crise sanitaire, mais la colère est latente. Le feu couve sous la cendre et ne demande qu'une étincelle pour repartir. Le désir de démocratie et de justice sociale exprimé par le mouvement des Gilets Jaunes finira par porter ses fruits. Le contexte de la campagne électorale est propice à l’éducation populaire. Le MS21 s'y investira résolument, notamment par la parution d'un nouveau livre.

Notre espoir se portera, en 2022, sur la renaissance possible de forces politiques nouvelles, porteuses d'une réelle alternative républicaine, souverainiste, laïque et sociale, dans l’esprit du Conseil National de la Résistance de 1945.


MS21 :  Mouvement pour un socialisme du 21ème siècle.
24, le Coteau de la Ravinière
95520 OSNY
Directeur de la publication : Patrice HEMET
ms21.over-blog.com/2015/09/qui-sommes-nous.html









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Dernière modification : 25.02.22, 15:53:57