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Article 1 : LES COMMANDEMENTS VAINS
par Jean-Jacques REY
Article
2 : BANNISSONS LA RECONNAISSANCE FACIALE EN EUROPE !
par Ban Facial Recognition Europe
Article 3 : RASSEMBLEMENT CONTRE LE MONDIALISME !
par Marc JUTIER
Article 4 : MACRON TIENT SON CAP : L'ÉGOÏSME DE CLASSE
par Laurent MAUDUIT
Article 5 : CONTROVERSE SUR LA VOITURE ÉLECTRIQUE
par Guy RICHART
Il fait trop
chaud, il fait trop froid… Il y en a qui ne sont jamais contents ! La Nature n’est aux ordres de personne et surtout pas à ceux des guignols qui nous gouvernent. Certains se plaignent toujours des aléas météorologiques et/ou climatiques ; mais ils oublient, obnubilés par des considérations économiques, qu’ils sont des « jouets » sinon tributaires de cette même Nature (sur Terre) et qu’ils sont ses créatures liées. Puisque d’autres aussi nous rabâchent d’être « positifs » (etc.) et brandissent à nos vues et esgourdes le principe de réalité ; qu’ils soient, eux-même, ce qu’ils souhaitent et préconisent : des êtres réalistes, conscients de leurs limites et, en passant, de leur petitesse au regard des principes de la Vie, sur Terre. Qu’ils arrêtent de vouloir tout dominer, régenter, et de vouloir tout contrôler en prime, aveuglés par le contentement de leur ego ; et ; incidemment, qu’ils arrêtent de dicter l’intérêt général à leur dimension, évidemment fort modeste ; en tout cas autant que celle de ceux qu’ils prétendent commander au nom de la nécessité salutaire. Vous verriez, le cas échéant, comme il y aurait plus d’harmonie sur Terre et de compréhension, en particulier des erreurs qui ont été commises. On ne commande pas à la Vie sur Terre (et ailleurs), on l’accepte ou on disparaît… Les dinosaures ne sont pas que dans les formes ! Les trans-humanistes, eux, nous mènent à un genre de conflit nouveau, et, à trop se gonfler, on éclate. C’est bien connu : un peu de lucidité, charlatans et apprentis-sorciers ! Oui ! La Nature n’est aux ordres de personne, et certainement pas à l’écoute de ceux qui ne la respectent pas, ne pensant qu’à l’exploiter ou l’agresser quand cela les arrange, englués et pris qu’ils sont dans leurs petites vues d’utilitariste ramenant tout à leur individu. En cette période de pandémie, imprégnée par des réponses sinistres, il y a des médecins qui en prennent à leur aises, ils se prennent pour des gardiens de prison ! Comme quoi l’appétit de domination va nicher dans les moindres détails de la vie sociale et profite de toute occasion. L’Histoire est pétrie de ces faits-là. Pour bien se souvenir, il faut remettre les évènements et les acteurs à leur place… C’est peut-être pour cela aussi et nous ramener alors dans notre impuissance, que les Pouvoirs officiels insistent en ce moment sur nos fragilités physiques et notre santé mentale. Je ne suis pas spécialement anti-vaccin (il faut reconnaître leur grand rôle sanitaire) ; mais, tout intérêt bien consenti et protégé, il existe des lobbies pro-vaccins comme il existe des lobbies pro-nucléaires dans ce pays : la France. Or ces gens ont une fâcheuse tendance à diaboliser toute opposition, si constructive, serait-elle. Leur arme de prédilection, c’est d’acheter les médias dominants et de faire passer leurs solutions (et leurs profits) comme les seul-e-s valables, en usant d’un matraquage intensif le libre arbitre de chacun. Nous avons constaté nettement ce phénomène dans son ampleur, lors de la campagne en 2005 pour le « oui » au TCE (Traité Constitutionnel Européen), ceci dans le cadre d’un référendum –décrié- et avec le succès que l’on sait… Ces gens sont une véritable plaie pour la démocratie et ils enveniment tout débat public. Maintenant, je reste dubitatif quand on veut présenter la vaccination comme la solution miracle à la pandémie du Covid-19, sans m’enfoncer dans les spéculations, les calculs d’apothicaire et les considérations extravagantes ; cela, sans être un spécialiste aussi ; d’ailleurs nombre d’entre eux nous mettent en garde et parmi les plus célèbres ! Mais à force de vouloir dicter la « bien pensance », on obtient tout le contraire, et, il y a encore assez d’ahuris dans les hautes sphères pour l’ignorer (ou le feindre). C’est vrai que plus on s’élève, plus on risque de manquer d’oxygène, si nécessaire au monde terre à terre ! … Donc tout compte fait, par extension et extrapolation, il est contre-productif : pour les gouvernements en priorité, de vouloir influer sans arrêt et peser sur les mass média ; puisqu’ils les discréditent, les transformant en tête de turc, quémandeurs de subventions ou serviteurs de la fortune ; ce qui ne rend service à personne en définitive. Jean-Jacques
REY
http://www.jj-pat-rey.com/INTERNET-TRIBUNE-LIBRE/index.html Des idées et des informations dont on parle peu et le plus souvent pour se moquer : ainsi font les sonneurs de sornettes à "fake news" qui aiment bien se donner un genre : incapables de s'exprimer en bon français (la langue) qui ne serait pas assez riche, croirait-on... Quelle bande de cloches : pas besoin d'imiter Donald Trump pour refaire le dictionnaire ! ________________________________ infos sur vaccination VACCINS ANTI-COVID-19 & Proposition protocole PREVENTION COVID-19 "Synthèse évolutive en fonction des données des publications et des retours d’expériences de terrain" https://stopcovid19.today/coordination-sante-libre/ par Coordination Santé Libre : https://stopcovid19.today/ "La COORDINATION SANTÉ LIBRE, qui regroupe les Collectifs de médecins, de soignants et de scientifiques qui ne partagent pas la gestion sanitaire actuelle, a été officiellement annoncée à Paris le Samedi 09 Janvier 2021. Il a pour but de défendre les patients et leurs médecins, ainsi que les libertés publiques, en particulier la liberté de prescrire et la liberté de choix du patient face à la politique vaccinale. Ces collectifs représentent à ce jour plus de 30 000 médecins, autant de soignants et plus de 100 000 citoyens qui ont officiellement rejoint ces collectifs"... Source : Coordination
Santé/Libre, les collectifs de médecins rappellent le conseil à l’ordre
! (France)
Collectif "Laissons les médecins prescrire" : Manifeste la quatrième Voie https://manifestes-libertes.org/ "Nous, médecins, avons été choqués de constater qu’à aucun moment, notre Président n’ait parlé de soins précoces par le médecin traitant. Et s’il existait un autre chemin ? Une autre solution aurait dû être mise sur la table ! Car en tant que soignants, nous l’affirmons, il existe une QUATRIÈME VOIE ! Comme pour toutes les maladies infectieuses, il existe des solutions thérapeutiques qui pourraient tout changer sur le plan sanitaire, économique et social. Face à cette Covid-19, nous devons tous devenir proactifs plutôt que de rester cloitrés chez nous avec la peur au ventre en espérant que le virus nous épargne !" .../... Aspects juridiques : * La résolution 2361 adoptée le 28/01/2021 par le Conseil de l’Europe stipule en articles 7.3.1 et 7.3.2 que la vaccination ne devra PAS être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres, pour se faire vacciner, si, il ou elle, ne souhaite pas le faire personnellement. L’article 7.3.2 stipule que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner. Vaccins contre la covid-19: considérations éthiques, juridiques et pratiques Page de téléchargement : https://pace.coe.int/fr/files/29004 Texte de la résolution (fichier PDF) * En France, il ne peut exister d'obligation légale de vaccination. - Toute obligation serait contredite par le nouveau Code civil qui reconnaît le "principe du respect de l'intégrité du corps humain". - Toute obligation serait en contradiction avec l'article 36 du Code de déontologie médicale qui précise : "tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes". - Toute obligation serait annulée d'office par la Loi du 04 mars 2002, n° 2002-303, Article 11, chapitre 1er, modifiant l'Article L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : "Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment." Références : Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. - Présentation dans sa totalité. - Chapitre Ier : Information des usagers du système de santé et expression de leur volonté (Articles L1111-1 à L1111-9). Synthèse pour vulgarisation sur Wikipedia : "La loi no 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, aussi appelée loi Kouchner (ministre de la Santé de l'époque) ou loi anti-Perruche a été promulguée par le Président de la République française, Jacques Chirac. Considérée comme l'occasion de régler les difficultés soulevées par l'arrêt Perruche, cette loi a été élaborée après de nombreuses concertations et déclare avoir pour objectif de développer la démocratie sanitaire (titre Ier), d'améliorer la qualité du système de santé (titre II) et de mieux réparer les risques sanitaires (titre III).. " .../... Demande judiciaire d’autorisation de respirer librement dans l’espace public Fév 25, 2021, News https://stopcovid19.today/2021/02/25/requete-judiciaire-concernant-lexoneration-de-port-du-masque/ Procédure de demande d’Ordonnance sur Requête de Maître JOSEPH "
Les requérants sollicitent l’autorisation
judiciaire pour eux-mêmes et pour leurs enfants, d’aller et venir dans
l’espace public et notamment, dans les établissements scolaires, sans
avoir l’obligation de porter le masque, et ceci pour les raisons
suivantes :
La crise sanitaire a divisé le monde médical, en 2 camps : – un camp minoritaire de par le nombre, mais majoritaire auprès des autorités, et sur les plateaux des grands médias, – un camp majoritaire, composé de scientifiques autant (sinon plus) diplômés que les autres, mais qui n’arrivaient pas à se faire entendre. Des milliers de médecins se sont élevés contre les mesures liberticides qui leur apparaissaient inefficaces et à tout le moins, totalement disproportionnées par rapport au nombre de décès du COVID-19, représentant 0,1% des personnes malades, et touchant en moyenne des personnes âgées de plus de 85 ans, et atteintes d’autres pathologies. Curieusement, les grands médias sont restés silencieux sur ces aspects de la controverse, ne donnant la parole qu’à certains, et notamment les membres du Conseil scientifique qui ont tous d’importants liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, tel ce professeur ayant déposé une plainte contre le Pr RAOULT, et ayant omis d’indiquer avoir perçu 800.000 € du laboratoire Gilead (producteur du remdesivir)… De plus en plus de scientifiques s’étonnent du fait que l’on présente aux Français, une version monolithique de la “Science”, et du fait que le gouvernement semble s’incliner devant des affirmations, parfois changeantes et contradictoires, émanant de la minorité précitée. La France est tombée sous le régime de ce qui pourrait s’appeler la “Scientocratie”. Tous les principes constitutionnels, et tous les textes des conventions internationales sont bafoués par des décrets liberticides empêchant d’aller et venir, et de respirer normalement. .../... Dans un rapport du 5 juin 2020, l’OMS montre bien l’absence de preuve concernant l’efficacité du port du masque. Dès lors, force est de constater que l’institution médicale rattachée à l’ONU ne met en exergue aucun avantage médical avéré au port du masque. En revanche, l’OMS formule ce que les hommes politiques n’hésitent pas à exprimer, publiquement ou non : le port du masque est inutile mais constitue le seul signe visible de lutte contre la COVID-19. C’est notamment en ces termes qu’Olivier VÉRAN s’est exprimé lors d’un déjeuner devant des journalistes en juillet 2020. « Enfin, si le port du masque était efficace, il ne serait pas nécessaire de confiner ! » En revanche, au titre des inconvénients, l’OMS met en exergue pas moins de 11 risques potentiels ou avérés... ".../... ________________________________ Covid et santé publique. « Nous avons besoin d’un vaccin social ! » 5 avril 2021 http://alencontre.org/societe/covid-et-sante-publique-nous-avons-besoin-dun-vaccin-social.html "
Joan Benach, professeur de
sociologie au département des sciences politiques et sociales
de l’université Pompeu Fabra de Barcelone, a publié de nombreuses
études et ouvrages sur la « commercialisation de la santé
» comme sur les politiques de santé publique. A l’occasion de cet
entretien il développe ses idées et options à la «lumière» ou à
l’«ombre» de la pandémie du Covid-19.
Les causes fondamentales qui déterminent la santé d’une population ne sont pas, comme beaucoup le pensent, la biologie et la génétique, les «modes de vie» ou les soins sociaux et de santé, mais des causes sociales. Pourquoi ? Parce que les facteurs biologiques et génétiques sont presque toujours «activés» ou non en fonction de l’environnement, parce que les comportements associés à la santé, comme les habitudes alimentaires ou le tabagisme, sont conditionnés par la famille et l’environnement social. Et parce que les soins de santé, bien qu’étant un service fondamental lorsque nous tombons malades, contribuent relativement peu à la santé de la population et dépendent également de facteurs sociopolitiques. Pourquoi tombons-nous malades alors ? Principalement en raison de «déterminants éco-sociaux»: la précarité de l’emploi, le logement ou la pollution environnementale, pour ne citer que trois facteurs. Ces facteurs ont un impact inégal sur les différents groupes sociaux en fonction de leur classe sociale, de leur sexe, de leur origine ethnique, de leur situation migratoire et de leur lieu de vie, ce qui génère des inégalités en matière de santé. .../... Le facteur crucial à l’origine de toute la chaîne de causalités qui explique pourquoi nous sommes en bonne santé, tombons malades ou mourons prématurément, est la politique. Pourquoi ? Parce que les idéologies et les rapports de force politiques inégaux conditionnent les politiques publiques qui sont faites en matière de fiscalité, d’emploi, de logement, d’environnement, de santé ou de services sociaux, entre autres. Chacune de ces politiques est interdépendante et génère des changements dans nos modes de vie, de travail, de consommation, de relations entre nous et avec l’environnement qui, d’une manière ou d’une autre, même si nous ne le voyons pas ou n’en sommes pas conscients, affecteront nos vies et, en définitive, notre santé.../... De nombreux experts ont mis en garde depuis des années contre une telle pandémie. Pourquoi le système de santé n’était-il pas préparé? Était-il trop centré sur les hôpitaux ? Depuis au moins quatre décennies, de nombreux spécialistes mettent en garde contre les changements socio-écologiques mondiaux qui entraînent une augmentation des maladies infectieuses. Des scientifiques l’ont dit dans leurs articles, des vulgarisateurs comme Bill Gates l’ont commenté, de nombreuses institutions internationales, dont l’OMS, ont lancé des mises en garde. Il me semble qu’il y a trois raisons principales. Tout d’abord, en raison de la dynamique à court terme des gouvernements qui agissent trop souvent de manière réactive. C’est-à-dire qu’ils s’inquiètent «lorsque Santa Barbara tonne» [dicton signifiant: «quand on laisse tout à la dernière minute et qu’ensuite on se plaint] et que nous avons déjà une catastrophe sur les bras. Par contre, ils font beaucoup moins d’efforts pour planifier et anticiper les problèmes qui peuvent ou non se produire. Le fait est que la prévention est beaucoup moins visible et appréciée que l’action immédiate et qu’elle est souvent décrite comme un peu ou pas efficace. Deuxièmement, en raison de la marchandisation et de la précarisation progressive de la santé publique et des services sociaux depuis des décennies, facilitées par une vision néolibérale de la santé et les pressions du complexe commercial pharmaceutique. Après la crise de 2008, les politiques d’«austérité» ont aggravé la situation. Et troisièmement, parce qu’on nous a répété que nous avions l’un des meilleurs systèmes de santé publique au monde. C’est vrai qu’il est bon si nous le comparons avec de nombreux pays, mais il s’agit d’un modèle biomédical et réductionniste, «hospitalo-centré» et médicalisant, qui se concentre trop sur les maladies, les organes et la technologie et pas assez sur l’être humain, les soins primaires, les services sociaux, les déterminants sociaux, les inégalités et la santé publique, où se trouvent des données aussi essentielles que la santé mentale, la santé au travail ou la santé environnementale, parmi beaucoup d’autres. Il convient de le répéter autant de fois que nécessaire: les «services médicaux publics» ne sont pas la même chose que la «santé publique», une discipline qui vise à surveiller et à prévenir les maladies, à protéger, promouvoir et restaurer la santé de l’ensemble de la population, mais qui dispose de très peu de ressources (1,5 à 2% du budget de la santé). Paradoxalement, la santé publique a donc été la grande absente de cette pandémie. ".../... ________________________________ "La stratégie d’étranglement qui permet aux Gafam de conserver leur domination" Tribune par Bernard Guilhon Publié le 24/02/2021 à 14:33 https://www.marianne.net/societe/big-brother/la-strategie-detranglement-qui-permet-aux-gafam-de-conserver-leur-domination "
Les plateformes numériques déploient de vraies tactiques
pour préserver leur ascendant. C’est même un cas d’école en
économie. Explication avec Bernard Guilhon, membre de
l'association du Manifeste de l’Industrie (MAI) et professeur
d’économie Skema Business School.
Les plateformes numériques sont des structures hybrides, à la fois firmes et marchés, lieux de production et d’échange organisés autour d’un écosystème formé d’une plateforme ‘leader’, de développeurs d’applications et de fournisseurs de technologies complémentaires (logiciels, algorithmes, matériels, etc.) et enfin d’entreprises qui vendent sur les « places de marché » offertes par ces plates-formes. L’approche économique décrit les mécanismes de création et de captation de la valeur pendant que l’approche sociologique insiste sur la capture et l’utilisation des données personnelles qui menacent l’autonomie des individus comme consommateurs, mais aussi comme citoyens assujettis à un capitalisme de surveillance (S. Zuboff, 2020). En s’appuyant sur la synthèse du rapport du Comité Stigler (L. Zingales et F. M. Lancieri, Policy Brief, 2019), on peut analyser les mécanismes par lesquels les Gafam étendent leur pouvoir d’étranglement. Des pouvoirs de marché exorbitants La tendance à la concentration des marchés est la conjonction de plusieurs éléments. Les rendements d’échelle assurent du côté de l’offre la couverture des coûts fixes, la demande est tractée par les effets de réseau d’après lesquels la valeur d’un service augments avec le nombre d’utilisateurs. En effet, une fois la première unité produite, le coût marginal d’un eBook tend vers zéro ainsi que son coût de distribution pour tous les usagers ayant accès à Internet. A cela s’ajoutent les rendements croissants des données accumulées qui permettent de mieux identifier les marchés et de se déployer vers des marchés adjacents (économies de portée). Si le prix monétaire d’un service est nul, c’est parce qu’en fait l’usager paye indirectement en transférant ses données personnelles sans le savoir. La dynamique du type "the winner takes most" provoque un basculement vers des structures quasi-monopolistiques. .../... La gestion de l’information Les plateformes représentent le groupe social qui a éclipsé en partie l’État dans la gestion des données massives qui concernent les informations personnelles sujettes à des actes d’appropriation. Cette approche repose sur l’idée qu’il existe un domaine public de matières premières supposées brutes et disponibles qui jouent un rôle déterminant dans les jeux concurrentiels. Les données se transforment en marchandises lorsque les plates-formes les regroupent, les classent et les analysent pour en extraire de la valeur. Par leurs activités en ligne, les consommateurs supportent les effets nocifs de leurs choix en participant eux-mêmes au piégeage dont ils sont les victimes. Beaucoup d’entre eux, mal informés, sont exploités parce que le présent compte plus que le futur et que le choix se fait dès la première offre. Les plateformes utilisent des interfaces (“dark patterns”) qui les poussent à prendre des décisions contre leurs préférences et leurs attentes. D’où l’intérêt d’apparaître comme l’opérateur choisi par défaut .../... En ce qui concerne les informations publiques, on assiste à la désactivation des canaux traditionnels, par exemple la presse écrite, et à la monopolisation de nouveaux marchés. .../... Les auteurs du rapport observent ainsi que trois personnes ont un contrôle total sur les informations de milliards d’êtres humains. A cela s’ajoute la faible propension à privilégier les contenus de qualité et à bloquer les fausses informations. .../... On peut faire l’éloge de la destruction créatrice ou s’inquiéter plus sérieusement de la régression de la démocratie. " Comment La Poste tente de constituer une base de données géante sur « tous les Français » par Le Postillon 15 mars 2019. https://www.bastamag.net/Comment-La-Poste-tente-de-constituer-une-base-de-donnees-geante-sur-tous-les "
Une entreprise française sait beaucoup de choses sur
vous : où vous habitez, quand vous déménagez, de combien de membres se
compose votre famille, quel type de colis vous recevez et de qui… Cette
entreprise, c’est La Poste, déjà connue
pour revendre des fichiers d’adresses à des entreprises pour leurs
prospections commerciales. Un nouveau cap pourrait être
franchi : La Poste a racheté une start-up grenobloise spécialisée dans
l’intelligence artificielle, qui permet de collecter et d’organiser des
milliards de données personnelles. Le Postillon, journal local isérois,
partenaire de Basta !, a enquêté sur ces pratiques. Ou comment
l’ex-établissement public utilise sa position pour s’approprier un
gigantesque patrimoine de données privées.
Cet article a été initialement publié dans le numéro de l’hiver 2019 du Postillon, journal régional de Grenoble et de sa région. Ça vous est sûrement déjà arrivé : déménagement, donc changement d’adresse. Vous voulez faire les choses bien alors vous signez un contrat avec La Poste pour que votre courrier soit réexpédié. Et puis les semaines suivantes, vous ne comprenez pas. À peine arrivé dans votre nouveau chez-vous, vous recevez dans votre boîte aux lettres plusieurs publicités de grandes surfaces situées juste à côté. Qui leur a donné votre nouvelle adresse ? La Poste, bien sûr ! Car il y a de fortes chances pour que vous n’ayez pas coché dans le bon ordre les petites cases à côté des petits caractères qui permettent que « vos données personnelles soient utilisées à des fins de prospection commerciale ». Avec les contrats de réexpédition, La Poste a le meilleur fichier d’adresses de France. Plein d’entreprises envoient des milliers de publicités à partir de leurs propres fichiers, bourrés d’adresses périmées. La Poste, elle, se vante d’ « une base, actualisée mensuellement, de plus de 15 millions de foyers français », validée sur le terrain par les postiers qui doivent vérifier votre pièce d’identité au moindre geste. Des « données enrichies de critères géographiques, socio-démographiques et comportementaux » Sur le site internet de Médiapost, la filiale de La Poste qui revend vos données, on peut lire des accroches comme : « Partez à la conquête de nouveaux clients. Artisan, TPE, PME ou grand compte : vous devez régulièrement recruter de nouveaux clients pour entretenir et développer votre portefeuille. La location de nos fichiers d’adresses postales, régulièrement mis à jour, vous permet de vous faire connaître rapidement de vos cibles au meilleur coût. » Mais La Poste ne vend pas simplement une adresse afin d’« optimiser votre budget communication », elle croise ses données avec « des sources fiables, répondant à une charte rigoureuse : Insee, Direction générale des finances publiques, LSA, référentiels La Poste, études terrain et base Médiapost », pour proposer des « données enrichies de critères géographiques, socio-démographiques et comportementaux (âge, pouvoir d’achat, composition du foyer, caractéristiques de l’habitat, habitudes de consommation, loisirs, taux d’équipement...) ». La Poste peut ainsi satisfaire un « client » qui voudrait acquérir les coordonnées de – par exemple – femmes d’un quartier aisé âgées de 30 à 50 ans qui font des achats en ligne et possèdent une voiture. ".../... ________________________________ |
Signalement personnel du 23/03/2021
d'un article et pétition par Wesign.it
:
Site : https://www.wesign.it/
#BanFacialRecognitionEU
: est l'un des 50 groupes et
organisations à travers l'Europe qui mène le combat au niveau
supérieur: en recherchant
la reconnaissance juridique de nos demandes par l'UE.
Vous pouvez le faire en signant officiellement la nouvelle
pétition ECI par Reclaim
Your Face ; en français : https://reclaimyourface.eu/fr/
Ce nouveau défi est fondamental pour faire entendre votre voix directement à la Commission européenne avec l’initiative citoyenne européenne (ICE) visant à interdire les pratiques de surveillance de masse biométrique. Il s'agit d'une action démocratique légalement reconnue qui appelle l'UE à adopter une nouvelle loi pour nous protéger de la reconnaissance faciale, c'est pourquoi il est si important de la signer même si vous avez déjà signé #BanFacialRecognitionEU . Puisqu'il s'agit d'une action officielle, la pétition ECI vous demande également de saisir des données personnelles afin que les autorités européennes puissent vérifier votre soutien. La campagne Reclaim Your Face vise à interdire non seulement la reconnaissance faciale, mais toute technologie biométrique (par exemple, la reconnaissance de vous en utilisant votre façon de marcher) qui permet une surveillance et une discrimination de masse. Votre signature sur cette pétition officielle porte sur l'avenir de la démocratie en Europe qui est mise en danger par cette technologie invasive - alors rejoignez-nous pour la rendre légale et #ReclaimYourFace ! .°.°.°.
Cette pétition
présente la campagne pour l'interdiction permanente de la
reconnaissance faciale utilisée pour l'identification et le profilage
dans toute l'Europe.
source : https://ban-facial-recognition.wesign.it/droitshumains/bannissons-la-reconnaissance-faciale-en-europe À propos de l'interdiction de la reconnaissance faciale en Europe La technologie de reconnaissance faciale automatisée a déjà été déployée dans les États membres de l'UE sans consultation publique. Nous demandons aux membres du Parlement européen et de la Commission européenne de prendre au sérieux cette énorme menace pour les droits de l'homme et notre société civile et de légiférer pour l'interdiction immédiate et permanente de l'identification et du profilage via la technologie de reconnaissance faciale dans toute l'Europe. La reconnaissance faciale est une technologie particulièrement invasive. Il ne s’agit pas seulement de la surveillance des militants, des suspects et des minorités, mais c’est une atteinte à la vie privée de tous et un énorme danger pour les libertés démocratiques, les libertés civiles et la liberté d’expression pour toute la société. Actuellement, les services de police et les services de sécurité des différents États européens, de concert avec l'industrie de la technologie, font pression contre les institutions européennes pour l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale. En réponse, cette pétition vise à contester les objections formulées par des États membres individuels sur l'interdiction de la reconnaissance faciale et demande à la Commission européenne d'engager des procédures d'infraction contre les États membres qui enfreignent déjà les lois de l'UE en utilisant la reconnaissance faciale. Plusieurs États membres d'Europe utilisent déjà la reconnaissance faciale pour la sécurité, le contrôle social et les services publics. Par exemple, il a été mis en œuvre dans les gares en Allemagne, lors du verrouillage en Pologne, et il est prévu de créer une carte d'identité nationale en France où la police l'utilise déjà dans les espaces publics. Pendant ce temps, aux États-Unis, la reconnaissance faciale a été interdite dans plusieurs villes et a même été récemment limitée par de grandes entreprises technologiques telles qu'Amazon, IBM et Microsoft à partir de juin 2020. L'Europe doit s'aligner sur une interdiction définitive de la reconnaissance faciale pour son leadership en matière de droits de l'homme. Cependant, en janvier 2020, il a été révélé qu'une Commission européenne avait retiré son projet d'interdire la technologie de reconnaissance faciale pendant cinq ans, un plan qui a probablement été rejeté par les programmes de police des États membres de l'UE. Cela prouve à quel point l'Union européenne est peu fiable et vague sur ces questions juridiques et de droits de l'homme critiques concernant la technologie de reconnaissance faciale. Aujourd'hui, la reconnaissance faciale en Europe se déploie sans transparence ni débat public, et est utilisée en dehors de tout cadre juridique coordonné et cohérent. Leurs promoteurs ont une foi aveugle en cette technologie et poussent souvent à accélérer sa prolifération, quelles que soient les conséquences inévitables pour nos libertés. L'Europe doit redresser ses lois sur la protection de la vie privée et lutter radicalement contre la reconnaissance faciale en interdisant totalement son utilisation abusive. Plus de 80% des Européens sont déjà contre le partage de leur image faciale avec les autorités. Faites valoir cet avis avec cette pétition pour interdire la reconnaissance faciale dans toute l'Europe. Pourquoi la reconnaissance faciale est trop dangereuse Il existe plusieurs technologies très envahissantes pour la vie privée, en particulier avec la biométrie. Parmi eux, la reconnaissance faciale est particulièrement violente et biaisée. Les visages ont des significations sociales et ils sont difficiles à cacher car ils sont notre principal moyen de communication. Les visages sont les parties les plus publiques des humains et leurs traits servent de métriques pour le jugement social. Nous considérons la reconnaissance faciale trop dangereuse pour les citoyens, car elle peut transformer l'un de nos principaux moyens de socialité contre nous, transformant nos visages en dispositifs de suivi plutôt qu'en composant essentiel de nous-mêmes. Au-delà du contrôle social, de la discrimination et de la surveillance, il s'agit de la vie privée de chacun. Tout le monde est en danger lorsqu'un tel instrument est autorisé sans règles. Il ne s’agit pas seulement de la police ou des entreprises qui utilisent la reconnaissance faciale pour la sécurité ou l’exploration des données, mais c’est ainsi que cette technologie devient culturellement omniprésente et normalisée, provoquant finalement la peur dans la vie de tous. Cela crée un faux sentiment qu'être observé et analysé à tout moment est acceptable et crée des sociétés remplies de suspicion, d'abus et de méfiance. La technologie de reconnaissance faciale est également aggravée par la «prédiction comportementale» qui prétend pouvoir classer les émotions ou les intentions d’une personne, mais qui menace fondamentalement la dignité et l’autonomie humaines. La reconnaissance faciale associée à une soi-disant intelligence artificielle sous la forme d'algorithmes d'apprentissage automatique augmente les déséquilibres de pouvoir, la discrimination, le racisme, les inégalités et le contrôle social autoritaire. Il y a trop de risques élevés pour les prétendus «avantages» que l'utilisation de ces technologies pourrait éventuellement apporter. Partout en Europe, les gouvernements, les entreprises privées et aussi les civils cherchent à utiliser la reconnaissance faciale. Nous avons déjà vu son utilisation dans les lieux de travail, les espaces publics, les écoles, les aéroports, les maisons et dans nos propres téléphones personnels. Ces mises en œuvre de la reconnaissance faciale vont souvent au-delà de notre consentement, ou nous sommes souvent obligés de consentir, tandis que les conséquences à long terme du stockage des données biométriques et de la formation de l'intelligence artificielle pour analyser nos visages peuvent dépasser notre contrôle et les institutions en qui nous avons confiance. Aucun argument ne peut justifier le déploiement de telles technologies. L'utilisation civile, commerciale et gouvernementale des dispositifs de reconnaissance faciale pour l'identification et la catégorisation des individus doit être strictement interdite. Toute technologie de reconnaissance faciale vendue dans le commerce ou développée et utilisée à titre privé pour cette portée doit être arrêtée. La reconnaissance faciale doit être interdite, pas seulement réglementée Les réglementations ne suffisent pas et elles échoueraient à s'attaquer à cette technologie en raison de l'ampleur de son danger. La reconnaissance faciale porte atteinte au droit à la dignité car elle utilise les qualités, les comportements, les émotions ou les caractéristiques des individus contre eux de manière non justifiée ou proportionnée aux droits fondamentaux de l’UE ou aux lois nationales individuelles. Par exemple, les réglementations européennes actuelles telles que le RGPD couvrent principalement la vie privée des citoyens dans le secteur commercial à quelques exceptions près, mais elles ne traitent pas suffisamment les droits de l'homme qui sont en péril avec la reconnaissance faciale tels que le droit à la dignité et à l'égalité. Tout comme les armes nucléaires ou chimiques, la reconnaissance faciale constitue une grande menace pour l'humanité. Son utilisation pour l'identification et le profilage est certainement trop dangereuse pour être utilisée. Elle devrait être interdite non seulement par l’Union européenne mais aussi au niveau mondial par les Nations Unies. Il existe de fausses croyances sur l’efficacité et l’utilité de la reconnaissance faciale qui justifient son utilisation dans le cadre de la réglementation. Cependant, même pour la sécurité, il existe de sérieux doutes quant à savoir si la police en a vraiment besoin ou si elle contribue à fournir de meilleurs services. Les acteurs privés acquièrent un pouvoir disproportionné sur la technologie qui a souvent été développée sans responsabilité ni transparence. Souvent, ces technologies sont vendues aux autorités publiques et aux forces de l'ordre avec peu ou pas de responsabilité pour leurs actions. Au-delà de la surveillance du gouvernement et des entreprises, il existe désormais d'énormes quantités de données publiques sur les sites Internet, les plateformes de médias sociaux et les ensembles de données ouverts que tout le monde peut récolter ou acheter. En outre, les infrastructures des appareils qui capturent des images de visages sont déjà omniprésentes avec les caméras CCTV, les smartphones et les scanners vidéo dans nos vies publiques et privées. Ces conditions rendent la reconnaissance faciale particulièrement dangereuse parmi d'autres technologies qui peuvent identifier, suivre et juger les personnes. Aujourd'hui, la reconnaissance faciale est déjà présente dans nos smartphones, les contrôles des passeports dans les aéroports et les espaces publics. Utiliser la reconnaissance faciale pour l'authentification faciale locale pour déverrouiller un smartphone ou pour accéder à un service semble beaucoup moins intrusif que d'identifier un individu parmi de nombreuses personnes dans un lieu public. Cependant, le développement de la technologie elle-même, la formation d'algorithmes et le stockage des données biométriques détenues par des entreprises privées pourraient, à l'avenir, être utilisés au-delà du cadre initial. Même lorsque nous donnons votre consentement ou utilisons la reconnaissance faciale en privé, nous risquons que ces données puissent entraîner des conséquences involontaires, futures, telles que des fuites de données biométriques, leur vente à des tiers ou la formation d'algorithmes sur nos traits personnels. Par conséquent, nous rejetons les deux exceptions d'utilisation de la reconnaissance faciale en ce qui concerne l'innovation pour l'industrie technologique et la sécurité publique. Nous appelons à une interdiction totale de tous les cas de technologies de reconnaissance faciale concernant leur utilisation pour toute forme d'identification, de corrélation et de discrimination qui permettrait une surveillance de masse, des crimes de haine, des traques omniprésents et des violations de la dignité personnelle. Ils seraient toujours possible à des fins de recherche, de médecine et de divertissement à condition qu'aucune donnée biométrique ne soit stockée ou utilisée pour identifier ou classer des individus. Nous soutenons que la reconnaissance faciale est déjà illégale en vertu du droit de l'UE et doit être interdite dans la pratique. Quatre instruments européens interdisent déjà la surveillance de masse biométrique : dans le sens le plus large, la Convention européenne des droits de l'homme et la Charte des droits fondamentaux de l'UE, et plus précisément la Convention sur la protection des données du Conseil de l'Europe, le RGPD, et son instrument frère, le LED . Cependant, les autorités nationales de protection des données (APD) ont été insuffisamment financées et politiquement démunies par leurs États membres ; ce qui signifie que leurs efforts pour faire appliquer les réglementations ont souffert et que les acteurs en violation de la loi ont été peu incités à se conformer. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de nouvelles lois pour imposer une interdiction de la reconnaissance faciale et pas seulement de réglementations faibles qui peuvent être interprétées et non appliquées par l’UE à ses États membres et à leurs députés. L'identification et la classification par reconnaissance faciale sont trop dangereuses pour ne jamais être nécessaires et proportionnées ; puisque les utilisations bénéfiques potentielles ne sont pas justifiées. Ce dont nous avons besoin pour interdire la reconnaissance faciale dans l'UE Nous devons prendre des mesures au Parlement européen pour attirer l'attention sur cette question dans ses États membres, ainsi que pour faire pression sur la Commission européenne pour qu'elle prenne des mesures coercitives contre les États qui violent actuellement les droits fondamentaux de l'UE et les lois sur la protection de la vie privée. L’interdiction totale de l’identification et du profilage via la technologie de reconnaissance faciale ne doit pas être simplement une directive, mais elle doit être une interdiction rigide pour être applicable dans toute l’Europe sans exceptions ni expiration. Dans l'Union européenne, il existe déjà des lois qui interdisent la surveillance biométrique de masse, mais elles ne sont pas appliquées. Les protestations, pétitions et litiges stratégiques peuvent potentiellement être très efficaces pour appliquer ces lois existantes et introduire une interdiction à l'échelle de l'UE. Dans les rues et en ligne, à travers des manifestations et d'autres formes d'action, les citoyens et les collectifs du monde entier font équipe pour arrêter la propagation fatidique de la reconnaissance faciale. Ensemble, nous faisons partie d'un vaste mouvement résistant à l'avènement de la reconnaissance faciale dans toute l'Europe et dans le monde. Interpellez-nous et dites-nous si vous voyez la reconnaissance faciale utilisée dans les écoles, les communautés fermées et les bâtiments, les identifiants et badges, les services publics, les dispositifs de verrouillage, les applications mobiles, les plates-formes Internet, et même si c'est pour le divertissement ou un usage personnel ou s'il est utilisé par la police, le contrôle des frontières, les forces de l'ordre et les enquêteurs. Nous demandons à la Commission européenne et à la Cour européenne de justice d’évaluer les cas que nous avons rassemblés concernant les programmes de reconnaissance faciale en Europe pour avoir rendu ces utilisations actuelles et futures illégales. Si la Commission européenne, soutenue par le Parlement européen, ne prend pas les mesures d'application et législatives appropriées pour interdire une telle technologie, nous prévoyons de porter les affaires devant la Cour européenne de justice sur la base des directives LED actuelles, des règlements GDPR, du Conseil de la Convention européenne sur la protection des données et les lois nationales sur la protection des données, y compris la Convention européenne des droits de l'homme et la Charte des droits fondamentaux de l'UE. Aujourd'hui, nous exprimons notre refus collectif de ces outils de contrôle social en exhortant les décideurs à les interdire une fois pour toutes. Cas et détails - Reconnaissance faciale en Europe En mai 2020, au moins 15 pays européens ont expérimenté des technologies biométriques telles que la reconnaissance faciale dans les espaces publics. Au minimum, il y a des activités en République tchèque, au Danemark, en France, en Allemagne, en Grèce, en Hongrie, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, en Roumanie, en Serbie, en Slovénie, en Suède, en Suisse et au Royaume-Uni. La liste suivante de cas sur les utilisations de la reconnaissance faciale en Europe a été compilée par Paolo Cirio avec ses recherches et avec l'aide d'experts en politique de confidentialité et d'organisations telles que La Quadrature du Net, et à travers le document de recherche EDRi pour l'interdiction de la surveillance biométrique. Cette liste montre comment l'absence d'une législation cohérente, entourant la reconnaissance faciale, pousse les États membres de l'UE à prendre des initiatives individuelles, à exercer une surveillance laxiste et à faire un usage réel de ces technologies dangereuses. Nous exigeons une plus grande transparence publique et une plus grande responsabilité à l'égard des parties - qu'elles soient publiques, privées ou en collaboration entre les deux - qui déploient des traitements biométriques, ainsi que des échanges de données entre les forces de l'ordre, la sécurité aux frontières, d'autres agences de sécurité publique, y compris la santé, et les autorités nationales, agences de sécurité. FRANCE À partir de 2020 La police française utilise déjà la reconnaissance faciale pour identifier les personnes dans les espaces publics. Ils utilisent des photos de personnes stockées dans la base de données des antécédents judiciaires TAJ. Il y a plus de 18 millions d'enregistrements d'individus dans cette base de données avec plus de 8 millions de photos. L'utilisation de la reconnaissance faciale dans cette base de données en France est autorisée depuis 2012 et est actuellement contestée devant les juridictions nationales. Voir aussi le rapport de la Cnil. Octobre 2019 La France est en passe de devenir le premier pays européen à utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour donner aux citoyens une identité numérique - qu'ils le veuillent ou non. Dire qu'il veut rendre l'État plus efficace, le président Emmanuel Macron fait passer des plans pour déployer un programme d'identification basé sur la reconnaissance faciale appelé Alicem dans le cadre de son gouvernement. Juillet 2019 L’autorité régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) a demandé à la CNIL l’autorisation d’utiliser un système de reconnaissance faciale pour gérer l’entrée au lycée Ampère à Marseille. Cet «essai» se voulait une expérience d'un an et a également été réalisé dans une autre école de la même région (le Lycée les Eucalyptus de Nice). Cette utilisation a été conçue pour augmenter la sécurité des étudiants et du personnel et pour accélérer le temps nécessaire aux étudiants pour entrer dans les locaux de l'école. Ces tentatives d'utilisation de la reconnaissance faciale dans les deux écoles françaises ont été stoppées par un procès en 2020. Depuis 2012 « PARAFE » est un programme de portails automatisés aux frontières déjà installés dans différentes gares et aéroports en France. Les portes utilisent la technologie de reconnaissance faciale pour vérifier l'identité de l'utilisateur par rapport aux données stockées dans la puce de son passeport biométrique. Le programme a été développé par la société française Thales. Plus d'infos sur le dispositif de Thales .../... Mobilisation créée par Ban Facial
Recognition Europe,
https://ban-facial-recognition.eu/le 3/9/2020 Contact |
Envoi
personnel du 11/04/ 2021 d'un article par Marc JUTIER
Sites : https://fraternitecitoyenne.blog4ever.com/
; https://mouvement-monnaie-juste.blog4ever.com/
Si
vous êtes contre le mondialisme ordolibéral, contre cette « élite » de
banquiers et de milliardaires qui possède la puissance financière,
pharmaceutique et médiatique et qui a pour objectif de détruire la
souveraineté des États et des populations ; alors rassemblons-nous pour
gagner les élections souveraines de notre pays du printemps 2022.
Source : http://marcjutier.over-blog.fr/09042021 Autres informations (nombreux liens URL) : http://marcjutier.over-blog.fr/20210404 "Le coronacircus est un stress-test impitoyable pour notre modèle de société & Le vrai pouvoir : la ploutocratie d'Occident". Chères concitoyennes, chers concitoyens, Après plus d'un an de coronacircus, la grippe 2020 causée par le « Sars-CoV-2 » a tué le cancer, les maladies cardiaques, la faim dans le monde, les suicides, etc. Il a tué l'économie, la classe moyenne et des millions d'emplois et d'entreprises. Il a tué les relations humaines, la vie étudiante, l'amour, les visites à nos anciens en maisons de retraite ; bref, il a tué la faculté de penser, la logique, le bon sens et notre humanité. La « pandémie Covid-19 » est, par ces mesures mises en place dans de nombreux pays, aberrantes, mondialisées et préméditées d'une part, et d'autre part, elle est révélatrice du vieillissement des populations dans les pays riches et finalement de l'énorme problème de santé publique que sont les polypathologies chroniques dues à la dégradation de notre environnement et à la nourriture industrielle dénaturée. Son instrumentalisation par les gouvernements mondialistes, ainsi que le Grand Reset qui est annoncé comme une réponse imminente à cette crise par le Forum de Davos, sont des outils menant au chaos économique et à l’hyper dépendance des peuples aux industries pharmaceutiques, agro-alimentaires et technologiques. L'instrumentalisation de cette crise sanitaire permet l’acceptation par la population de l’instauration d’une dictature mondiale, transhumaniste, totalitaire, liberticide, technologique et inégalitaire. Le degré d’alignement de chacun des dirigeants au mondialisme est proportionnel à l’instauration des mesures sanitaires technologiques et liberticides qu’ils ont mis en place sous couvert de pandémie avec comme fer de lance : la France de Macron, le Canada de Trudeau, les USA de Biden/Clinton/Gates/Soros, etc. Notre gouvernement, ainsi que les pays alignés sur la doctrine néolibérale paternaliste, ont utilisé des techniques de manipulation de l'opinion, autrement dit de l'ingénierie sociale aussi appelé théorie du nudge (coup de coude), pour conditionner le comportement des populations par des suggestions indirectes afin d'influencer les motivations, les incitations et la prise de décision des individus et ainsi amener les populations dans leur « bonne direction ». En clair, ces mondialistes ne croient pas en la démocratie, ils ne jurent que par le marketing et la manipulation de masse. La ligne de fracture est claire entre ceux qui effraient les populations avec ce coronacircus, qui instaurent des mesures sanitaires dictatoriales, qui mentent sur les chiffres et interdisent des traitements efficaces et qui sont encensés par les médias mainstream et ceux qui ont dénoncé l'instrumentalisation de cette pandémie depuis le début, qui ont validé des traitements comme l'hydroxychloroquine et qui sont critiqués, décrédibilisés et ridiculisés à longueur de temps par ces mêmes médias. En effet, la ligne de fracture est claire entre les citoyens et des collectifs de citoyens ou de professionnels (avocats, médecins, soignants, etc.) qui sont qualifiés de complotistes, de charlatans, de négationnistes, etc. comme c’est le cas de Robert Kennedy Jr, de l’IHU de Didier Raoult, de l’ACU en Allemagne, des anti-masques, des dizaines de milliers de médecins qui se regroupent pour réinformer au sujet du Covid-19 ou encore des millions de citoyens dans le monde qui se révoltent contre la dictature sanitaire comme par exemple en Allemagne ou en Angleterre et les citoyens lobotomisés par ces gouvernements et ces médias mainstream qui mentent par leur propagande incessante et indécente et qui déshonore donc plus que jamais la Charte de Munich. Dans de plus en plus de pays, les peuples défendent leurs souverainetés contre les banquiers-mondialistes. La question qui compte est : « est-ce que les individus, les institutions et les nations sont souverains, notamment concernant les questions d’alimentation, de santé et de libertés, ou bien sont-ils sous le contrôle et la domination d’une oligarchie et d’un gouvernement mondial qui pourrait dégénérer en dictature !? Autrement dit, sommes nous pour un monde unipolaire contrôlé par les banquiers, les multinationales et le « divin » marché ou pour un monde multipolaire ; ou encore sommes nous pour une Union Européenne ordolibérale ou pour une Europe de nations souveraines qui collaborent aux niveaux militaire et géopolitique. C’est à ces questions cruciales, c'est à ce choix de société auquel nous répondrons par nos suffrages lors des prochaines élections présidentielle et législatives. Pour les mondialistes néolibéraux, le terme de « choix politique » perd toute signification car la société, selon leur idéologie, n’est qu’une somme d’individus, ce qui justifie qu’il faut dépolitiser les débats au profit de simples mécanismes de marchés auto-régulateurs, la fameuse « main invisible du marché » selon eux, mais de façon plus réaliste, il s'agit bien de la main bien concrète du créateur de la monnaie, du banquier, du pouvoir absolu de la finance. Les médias dominants au service des mondialistes font même passer le terme de souveraineté comme une incongruité, voire une grossièreté ou une incorrection! Il est sans fondement de lier le risque de dérive nationaliste agressive à l’idée de souveraineté, ce n'est qu'un argument des mondialistes pour tenter de décrédibiliser la souveraineté des peuples afin d'imposer la dictature mondiale des banquiers. Il nous faudra reconstruire les chemins d’un vivre-ensemble apaisé par une souveraineté populaire au sein de la nation. Car en effet, nous sommes de plus en plus nombreux à penser que c'est au peuple de décider de son destin par des référendums d'initiative citoyenne par exemple, qu'il faut que le peuple se réapproprie son système monétaire et que ni Le Pen, ni Mélenchon, ni des revenants d'un PS moribond ne peuvent porter le flambeau d'un projet véritablement alternatif au diktat des banquiers, à cette l'oligarchie qui se réunit au club Bilderberg ou au forum de Davos et en France à l'association Le Siècle ou la French-American Foundation. Nous sommes de plus en nombreux à proposer une nouvelle civilisation d'harmonie, d'autonomie, de liberté, de partage, de respect mutuel et de préservation de l'environnement. Cette vision a commencé dans nos têtes et la concrétisation de cette société est inéluctable. Forcément, ceux qui sont à la tête des transnationales, ceux qui nous manipulent et nous tiennent en esclavage avec leur monnaie de singe n'apprécient pas cette évolution, cette prise de conscience ! Une nouvelle forme d'organisation sociale, un nouveau paradigme libéré de l'emprise du marché et de l'esclavage de la monnaie dette, émergent à l'horizon, nous sommes à l'aube d'une nouvelle civilisation. Il serait tout à fait possible de vivre dans une démocratie radicalement différente de celle d'aujourd'hui. On pourrait facilement vivre dans une société plus harmonieuse et cela n'a rien d'extraordinaire dans le fond. Si nous ne vivons pas déjà dans une société plus apaisée, c'est simplement parce que nous n'avons pas ouvert les yeux en termes de choix politiques fondamentaux. Ce sont nos choix politiques qui doivent déterminer si, oui ou non, les banques privées, les transnationales, la société de consommation et la publicité existent ou n'existent plus ; si, oui ou non, la fonction bancaire doit être un véritable droit régalien ou un droit privé comme aujourd'hui ; si, oui ou non, le pouvoir politique partage avec les citoyens et les élus de base, le fonctionnement de la production de marchandises et du système dans son ensemble. Le système monétaire actuel est la principale source de nos problèmes de société et d'environnement. Ce système – la création monétaire ex nihilo par la dette – est profondément absurde, défectueux et inique ; de fait, c'est une véritable escroquerie. Les questions de comment est créée la monnaie et de quelle est la motivation de ceux qui contrôlent son émission, sont primordiales. La monnaie n'est qu'un moyen pour mobiliser l'énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens et… ce n'est pas le cas aujourd'hui et c'est bien le cœur du problème ! Soyons clair, la monnaie ne peut fonctionner que si elle est maintenue artificiellement rare pour 99 % des gens, mais évidemment, il n'y a rien de plus facile à créer que la monnaie (c'est juste des chiffres sur des écrans) et donc pour cacher leur incurie (concrétisée par les nombreux Q.E. et les dettes souveraines abyssales), leur escroquerie (le système monétaire actuel, c.a.d. une monnaie créée ex-nihilo et contrôlée par les banques privées, dénoncée par Maurice Allais, prix Nobel d’économie, la déclarant identique à celle de faux monnayeurs ; (ce qui a eu pour conséquence immédiate son bannissement des médias) et pour continuer à nous maintenir en esclavage, la seule solution pour l'oligarchie financière, c'est de dématérialiser complètement la monnaie afin d'éviter une panique bancaire, une course aux guichets ou bank run. Comme d'habitude, ils veulent faire payer la note aux pauvres (les 99,9 %). De plus, en ce qui concerne la pandémie Covid-19, Big Pharma, grâce aux vaccins et aux tests, va gagner des milliards de dollars (c'est bien pourquoi hydroxychloroquine a été interdite et que toute médecine alternative et naturelle est décriée par leurs médias). Des milliards de dollars ont été investis pour développer des vaccins ; et pour être certain de les vendre, le mieux, c'est de faire très peur ! Le pouvoir dans nos démocraties est donc détenu par les maîtres du capital financier globalisé. Ce sont ces oligarchies qui gouvernent la planète, un pouvoir invisible, non élu, qu’a dénoncé Woodrow Wilson, président des États-Unis juste après la création de la FED le 23 décembre 1913. La démocratie française, comme toutes les autres, n’a pas le pouvoir réel sur les choses essentielles. Les décisions sont prises par les oligarchies, c’est-à-dire les PDG des grandes banques et des sociétés multinationales dont les compagnies pharmaceutiques ! Ces transnationales échappent à tout contrôle parlementaire, étatique, onusien ou syndical. Ces oligarchies ont une seule stratégie : la maximalisation du profit dans le temps le plus court et à n’importe quel prix humain et environnemental. Cela aboutit à l’affaiblissement des institutions démocratiques, à un mépris absolu du bien commun, à la destruction progressive de la planète, de la biodiversité, des forêts tropicales, avec l’empoisonnement des sols, de l’eau et des mers. Leur dogme : l'obscurantisme ultra, néo ou ordo libéral, qui dit que seul le marché fait l’histoire et qu’il obéit à des « lois naturelles » est, évidemment, un pur mensonge. On ne peut pas humaniser, améliorer, réformer un tel système. Il n'y a pas d'autre solution que de l’abattre. Aucun des systèmes d’oppression précédent, comme l’esclavage, le colonialisme, la féodalité, n’a pu être réformé. L’oppression ne se réforme pas. Sur l'échiquier politique de la droite à la gauche social-libérale, tous défendent l'ordolibéralisme de l'UE, tous sont complices de cette oligarchie financière. De Sarkozy à Macron en passant par Hollande, Royal, Montebourg, Jadot, Bertrand ou Hidalgo tous défendent cette idéologie qui considère que le politique n'a pas à intervenir dans le domaine économique. Selon eux, selon la théorie ordolibérale, l'État a pour responsabilité de créer un cadre légal et institutionnel à l'économie, et de maintenir un niveau sain de concurrence « libre et non faussée » via des mesures en accord avec les « sacro-saintes lois du marché ». Bien que l'ordolibéralisme se distingue du libéralisme classique anglo-saxon fondé sur la dérégulation et le « laisser-faire », il est cependant un libéralisme en ce que l'État doit se cantonner à la fixation et à l'application de ces règles et ne doit pas mener de politique économique structurelle ni même conjoncturelle. La société de consommation actuelle a tendance à enfermer les gens dans des attitudes individualistes où chacun s’isole et vit pour lui-même. Pour en sortir, il faut reconstruire une société plus solidaire, qui permette un partage plus égalitaire des richesses et offre une promotion à chaque être humain. Notre société trop souvent mécanique, froide et impersonnelle, souffre d’une déshumanisation, de logiques strictement comptables et de perspectives à courte durée. Une citoyenneté bien comprise devrait instaurer davantage de partage, de fraternité et de liberté pour conduire des actions créatrices d’avenir. Le modèle de société néolibérale qui a produit la contre-civilisation qui est la nôtre est un cancer qui ronge et détruit non seulement le vivant, la terre, les mers, l’air, tout ce qui marche, nage, pousse ou vole, mais qui annihile aussi les sociétés humaines, les rabaissant à un agglomérat d’égoïsmes en concurrence, de consommateurs compulsifs aliénés aux « cerveaux disponibles ». Il n'est plus à démontrer les ravages de l'idéologie libérale (néo ou ordo) sur l'humanité et la Nature. C'est donc une alternative à ce système mortifère que nous devons mettre en place. Un retour du politique dans l'économie, premièrement par un contrôle de la monnaie par l'État ; afin de développer une société plus juste et plus respectueuse de l'environnement. Un modèle de société réellement social, écologique et démocratique. L’Union Européenne ne peut-être qu'une fédération d'États souverains et non pas une technocratie au service des banquiers, des multinationales et des marchés. Nous ne pouvons pas laisser de coté notre souveraineté monétaire et cette souveraineté doit être une condition sine qua non à notre maintien dans l’U.E.. De toute façon l’U.E. a besoin de la France ; car depuis le Brexit, la France est le seul pays membre de l'U.E., qui est à la fois l'un des 5 membres permanents de l'O.N.U. et l'un des 9 États détenteurs de la force de dissuasion nucléaire. Un nouveau traité serait proposé à nos partenaires européens et une évolution doit être possible. C’est une question de courage, de volonté et de détermination. Il serait judicieux de rappeler aux États européens que les Français avaient voté NON au référendum du 26 mai 2005 et que le pouvoir leur a forcé la main de façon légale mais illégitime. Le peuple doit prendre conscience de l’importance fondamentale de la création monétaire. Les citations d’hommes célèbres tels que Thomas Jefferson, Napoléon, Abraham Lincoln, Woodrow Wilson, Henry Ford, JF Kennedy, Maurice Allais, Bernard Marris, etc. confirment cela. Même Rocard avait déclaré à la radio que « nous vivons dans un super État bancaire international ». Chaque jour, chaque citoyen pense à l’argent et pourtant combien savent comment est créé l’argent ? C’est la preuve d’une manipulation de masse extraordinaire ! Suite au rétablissement de notre souveraineté monétaire, il nous faudra, également, récupérer notre souveraineté économique par une planification aux fins d’une reconstruction de chaînes de la valeur plus autocentrées sur le territoire ; et forcément par une interdiction de la financiarisation et des activités spéculatives parasitaires et rentières ; une décarbonisation des activités ; un développement des filières écologiques, comme par exemple celle de l’économie circulaire. Il faut utiliser notre souveraineté économique pour rebâtir un monde moins concurrentiel et respectueux des valeurs françaises : rétablir des droits de douanes, compensateurs des inégalités de protection sociale entre pays ; établir le principe d’un maxima des rémunérations. Alors, si vous êtes comme je suis, contre le mondialisme néo ou ordolibéral, c. a. d. contre l’élite globaliste qui a placé ses sbires à la tête de beaucoup d’États et d’institutions internationales (comme l’OMS, l’OTAN ou l’Union Européenne), qui possède la puissance financière et médiatique et qui a pour objectif de détruire la souveraineté des États et des populations, alors rassemblons-nous pour gagner les élections souveraines de notre pays du printemps 2022. Certes, j'ai déclaré être disponible pour être candidat à la Primaire des Françaises et des Français pour l'élection présidentielle afin de défendre une France libérée de ce pouvoir qui veut anéantir les États et les peuples souverains ; mais je soutiendrai également le gagnant de cette primaire si, il ou elle, est, bien entendu, sur la même ligne politique. Alors, que vous envisagiez d'être candidat ou que vous pensez soutenir un autre candidat anti-mondialiste, je vous invite au rassemblement dans cette lutte contre cette « élite » de banquiers et de milliardaires. L'union du peuple peut nous permettre de triompher. Pourquoi le Gouvernement de la République française, actuel, impose une stratégie vaccinale globale (avec son lot d'effets secondaires !), des masques à toute la population française (obligatoires dès le CP !), des confinements, des couvre-feux, (etc.) contre une maladie qui est à peine plus létale que la grippe et qui tue à 80 % des personnes de plus de 75 ans (comme la grippe in fine !) et qui, de plus, sont pour la plupart atteint d'autres maladies comme le diabète ? Pourquoi ne pas soigner les malades avec le protocole du Dr Raoult ? Pourquoi ne pas distribuer largement vitamine D, Zinc et autres stimulateurs du système immunitaire aux populations à risque ? Si je suis élu en mai 2022, toutes ces questions et bien d'autres devront être posées au président Macron ainsi qu'aux membres du gouvernement durant la gestion de la « pandémie Covid-19 » lors d'une commission d'enquête et d'un procès que je déclencherais, dès ma prise de fonction. Si je suis élu, je proposerais aux Français, l’instauration d’une démocratie semi-directe, grâce à l’utilisation du Référendum d’initiative citoyenne, législatif et constitutionnel ; c’est-à-dire en toutes matières, en modifiant les articles 3,11 et 89 de la constitution, remplaçant le référendum partagé qui est irréaliste. Les convictions se forgent au cours du temps et des lectures. Parmi les auteurs qui ont contribué à affiner ma vision politique, il y a notamment : Maurice Allais, René Dumont, Irving Fischer, Gandhi, Jaurès, et Henryk Skolimowski. Si vous tenez à me mettre dans une case politique, je suis, d'une certaine façon, un gaulliste de gauche ou un chevènementiste et je suis donc évidemment, par exemple, pour une sortie de la France de l'OTAN. Je fais de la politique depuis plus d'une vingtaine d'année en électron libre. J'ai été : candidat aux élections législatives à Paris en 1997 et en Dordogne en 2017 ; adhérant au Mouvement Écologiste Indépendant d'Antoine Waechter de 1997 à 1999 ; candidat à la présidence du MEI en 1999 ; sympathisant Verts, PC et NPA et finalement adhérant au PS de 2011 à 2016. J'ai été mandataire fédéral de la motion 4 de Stéphane Hessel pour la Dordogne au congrès PS de Toulouse d'octobre 2012 et candidat pour la tête de liste PS aux régionales de 2015 pour la Nouvelle Aquitaine. Ma candidature à la présidentielle n'est pas une nouveauté : j'ai déclaré en janvier 2000 être disponible pour être candidat à l'élection présidentielle et j'ai tenté la Primaire citoyenne de 2017 du PS. Je suis Québécois par ma mère et ingénieur de l'école Polytechnique de Montréal, issu de la classe moyenne (mon père était chercheur à l’Inserm, mon grand-père instituteur dans l’Allier), j'ai travaillé comme ingénieur commercial en informatique et j'ai beaucoup voyagé en Asie et en Amérique du nord. Je suis père de deux filles. Je vis dans une maison que j'ai construite de mes mains. Je suis conférencier et j'ai publié 4 ouvrages, dont le dernier « La Monnaie, hier, aujourd'hui et demain - Du diktact des banquiers à une civilisation adulte » préfacé par Serge Latouche, est sorti en mars 2020. Pour en savoir plus sur mes convictions, il vous suffit de cliquer sur les liens [nombreux sur mon blog]. On sait maintenant trop bien comment la candidature de Macron a été orchestrée par les médias des milliardaires. Alors, est-ce aux médias des milliardaires ou aux citoyens, de choisir leur président ? La question que l'on doit en effet se poser, c'est : dans quelle mesure, notre décision de voter pour tel ou tel candidat, est-elle sous l'influence des médias dominants et du marketing politique ? N'est-on pas largement sous influence pour décider si tel ou tel candidat est crédible ou légitime ? Merci d'être adulte, merci de soutenir une candidature qui défend le bien commun plutôt que le bien des banquiers et des multinationales qui pillent l'Humanité. Merci de faire connaître cette déclaration à vos concitoyens et à vos élus. Une campagne présidentielle est une aventure collective ; si vous voulez faire partie de l'équipe, n'hésitez pas à me faire part de vos idées ou de vos questions. Quoi qu'il en soit et qui que vous soyez, n'hésitez pas à me contacter. Marc JUTIER
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Envoi
personnel du 06/04/ 2021 d'un extrait d'article par Pierre PÉGUIN
Ses contributions sur APPEL
DE GENÈVE II ou Coordination
antinucléaire du Sud-Est
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Bonjour,
On le savait déjà que Macron avait été élu pour défendre les intérêts des nantis au détriment des plus démunis. Mais cela devient de plus en plus révoltant dans la conjoncture actuelle. Voir ci-dessous un article de Médiapart de ce lundi 5 avril 2021 dont j'extrais: "Il faut effectivement prendre la mesure de cette réforme de l’assurance-chômage que le gouvernement a décidé de promouvoir. Dans la forme comme dans le fond, elle est révélatrice d’un pouvoir totalement insensible aux souffrances sociales du pays et qui, en ces temps de pandémie, n’envisage pas même de trêve dans le combat qu’il conduit. Dans cette réforme de l’assurance-chômage, ce sont en effet d’abord les mesures envisagées qui choquent, tant elles apparaissent violentes et lourdes de conséquences pour les Français les plus fragiles." Pierre PÉGUIN ------------------------------- Article complet et hors contrainte sur Info santé sécu social "De la suppression de l’impôt sur la fortune au début du quinquennat jusqu’à la réforme de l’assurance-chômage aujourd’hui au détriment des plus pauvres, le président n’a pas changé de politique, même au plus fort de la crise sanitaire. C'est celle de l’égoïsme de classe et de la guerre sociale. S’il faut résumer la politique économique et sociale conduite par Emmanuel Macron, sans doute peut-on retenir deux réformes particulièrement symboliques, l’une prise durant la première année de son quinquennat, l’autre dans la dernière : la réforme fiscale et celle de l’assurance-chômage. Pour commencer, la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et l’instauration d’une flat tax sur les revenus du patrimoine et de l’épargne au profit des plus riches ; et pour finir, une remise en cause des droits et protections des plus pauvres, ceux qui ont perdu leur emploi. Le raccourci parle de lui-même. À peine installé à l’Élysée, Emmanuel Macron multiplie les mesures en faveur des milieux d’affaires et des grandes fortunes et s’attire le sobriquet mérité de président des ultra-riches. Et le voici qui, entamant bientôt la dernière année de son quinquennat, se présente sous des traits qui complètent son portrait : il est aussi le président qui mène une guerre sans relâche contre les pauvres. Il faut effectivement prendre la mesure de cette réforme de l’assurance-chômage que le gouvernement a décidé de promouvoir. Dans la forme comme dans le fond, elle est révélatrice d’un pouvoir totalement insensible aux souffrances sociales du pays et qui, en ces temps de pandémie, n’envisage pas même de trêve dans le combat qu’il conduit. Dans cette réforme de l’assurance-chômage, ce sont en effet d’abord les mesures envisagées qui choquent, tant elles apparaissent violentes et lourdes de conséquences pour les Français les plus fragiles. Mediapart les a longuement détaillées dans plusieurs articles ces dernières semaines, et les chiffres mis sur la table sont pour le moins inquiétants ; puisque 1,15 million de personnes seront potentiellement concernées, la première année d’application, par la baisse des allocations à l’ouverture de droit, avec une baisse de l’indemnité journalière qui sera de 17 % mais pourra, dans certains cas, dépasser 40 %, selon une étude d’impact de l’Unédic. Rendant compte des récents travaux de Mathieu Grégoire, sociologue et maître de conférences à l’université Paris Nanterre, ma consœur Cécile Hautefeuille évoque même dans sa dernière enquête de nouvelles inégalités, « disproportionnées » et inquiétantes. Mais c’est tout autant le moment choisi qui peut susciter l’indignation. Car pendant un temps, dans le courant de l’année 2020, le gouvernement a décidé de surseoir à la réforme qu’il voulait initialement faire passer à la hussarde. On s’est donc pris à penser que celui-ci était pris d’un sursaut d’humanité et qu’il voulait épargner provisoirement les chômeurs, alors que la France traversait une crise sanitaire historique, qui va déclencher un tsunami social sans précédent. Pourtant, la trêve n’a été que de très courte durée. Et alors que la pandémie prend une ampleur dramatique, du fait en bonne partie des choix irresponsables faits par Emmanuel Macron, le gouvernement veut maintenant imposer sa réforme des prestations chômage, au moment précis où la troisième vague du coronavirus va générer une vague considérable de demandeurs d’emploi. Il faut donc prendre le temps de s’arrêter sur la conjoncture du moment, et sur ce qu’elle risque de devenir dans les prochains mois, pour mesurer la gravité des choix gouvernementaux. Tous les indicateurs disponibles suggèrent que la France va être submergée par une nouvelle vague considérable de chômage. C’est par exemple ce que révèle la dernière note sur la situation financière de l’Unédic. S’appuyant sur les statistiques de l’Insee et sur les siennes, le régime de l’assurance-chômage prévient qu’un séisme social est en cours : « L’Insee a constaté 360 500 destructions d’emploi dans le secteur privé en 2020. Cet ajustement, à la baisse, de l’emploi salarié privé est le plus important observé après-guerre en France néanmoins sans rapport avec l’ampleur du choc économique : en 2020, l’emploi salarié a baissé de -1,4 % alors que le PIB a décroché de -8,3 %. À titre comparatif, en 2009, 269 000 emplois avaient été perdus pour une contraction du PIB de -2,8 points. » Et l’Unedic prévient que fin 2021, « on constaterait 230 000 destructions d’emplois salariés ». Soit dit en passant, cette évolution dramatique ruine la thèse néolibérale qui sert de justification à la réforme de l’assurance-chômage. Car tous ceux qui défendent l’idée d’un régime moins favorable de prestations chômage prétendent que c’est une incitation plus forte pour que les demandeurs d’emploi cherchent activement du travail. Sous-entendu : les chômeurs sont toujours un peu responsables de leur situation. Or, dans le cas présent, l’argument ne peut pas être avancé, puisque l’emploi s’effondre : la baisse considérable des prestations chômage apparaît donc pour ce qu’elle est, sans fausse justification. Une mesure de guerre sociale. Au total, les perspectives tracées par l’Unédic sont particulièrement sombres. « Le taux de chômage serait de 8 % fin 2020 selon l’Insee, après 9,1 % au troisième trimestre 2020. Cette baisse du chômage, qualifiée de baisse en “trompe-l’œil” par l’Insee même, est principalement liée à la définition de l’indicateur du chômage du Bureau international du travail (BIT) : comme lors du 1er confinement, pendant le 2e confinement un nombre important de personnes ont déclaré ne pas être en recherche active d’emploi et n’entrent ainsi pas dans la mesure de chômage BIT. Ils basculent temporairement vers l’inactivité et entrent dans le ”halo” autour du chômage qui a mécaniquement fortement augmenté au cours des confinements. Fin 2021, le taux de chômage augmenterait à 10,1 %. Il baisserait ensuite pour atteindre à nouveau son niveau actuel de 9,3 % fin 2022. Cette estimation ne tient pas compte des ”effets de flexion” sur la population active, autrement dit des sorties durables de la population active, rendues très probables sous l’effet de la crise Covid-19. Par exemple, des étudiants ne pouvant pas rentrer sur le marché du travail et choisissant de poursuivre leurs études ou des personnes qui ne recherchent plus activement un emploi par manque de débouchés. » Autrement dit : au cours des prochains mois, le chômage réel va très fortement augmenter ; et l’envolée sera bien plus forte que ne le suggéreront les chiffres, puisque beaucoup de personnes, et notamment les plus jeunes, seront découragées, ne se déclareront pas demandeurs d’emploi, et ne figureront donc pas dans la catégorie des chômeurs indemnisés. Conclusion de l’Unédic : « Fin 2020, en raison des destructions d’emploi, du maintien en indemnisation des personnes arrivant en fin de droit et du passage des conditions d’ouverture de droit de 6 à 4 mois au 1er août 2020, 2,9 millions de personnes seraient indemnisées par l’assurance-chômage, soit +159 000 par rapport à fin 2019. Fin 2021, le nombre d’indemnisés augmenterait encore de +70 000 personnes par rapport à fin 2020. Fin 2022, grâce aux nouvelles créations d’emploi, le nombre de chômeurs indemnisés baisserait de -124 000 personnes ; ce qui porterait le nombre de chômeurs indemnisés à environ 2,8 millions de personnes fin 2022. » Et c’est donc précisément au moment où le pays va vivre un drame social qu’Emmanuel Macron choisit, au lieu de protéger les plus fragiles, de les enfoncer encore plus dans les difficultés : cette réforme restera donc parmi l’une des dispositions les plus contestables de ce pouvoir. L’une des plus insupportables, qui confirme la nature profonde du macronisme. Il faut d’ailleurs observer que la reprise de l’emploi et donc le reflux du chômage en 2022, après un pic en 2021, sont encore bien loin d’être assurés. Car il est encore difficile d’apprécier les conséquences concrètes de l’arrêt progressif des mesures de soutien à l’économie qui va intervenir dans les prochains mois. C’est ce que relève le dernier bulletin trimestriel établi en janvier de l’AGS, le régime de garantie des salaires, qui est géré par le patronat. L’AGS dresse en effet ces constats qui retiennent l’attention : « Toutes les prévisions économiques annoncent un risque de multiplication des dépôts de bilan en 2021, lorsque les différentes mesures de soutien seront progressivement arrêtées. La question demeure quant à la date effective de ce retournement : au premier ou deuxième trimestre 2021 ? Même si les entreprises de moins de 10 salariés concentrent toujours près de 90 % des dossiers ouverts à l’AGS en 2020, on observe qu’à l’inverse de la tendance actuelle générale, le nombre d’affaires de plus de 500 salariés a été beaucoup plus important en 2020. 5 dossiers ont concentré à eux seuls 14 500 emplois menacés. Cela illustre la gravité de la situation qui touche certains secteurs d’activité, notamment le commerce de détail lié à l’habillement. »" .../... |
Envoi personnel du 07/04/2021 d'un
article par Guy RICHART
Site : http://www.ecritguyrichart.fr/
Le
problème de la pollution provoquée par l’utilisation de voiture
électrique est « un cheval de bataille »
d’arrière-garde, aussi décalé que l’était la conception et la
construction déficiente de la Ligne Maginot ; tandis que les généraux
Nazis développaient des divisions blindées et un support aérien
tactique selon les recommandations des ouvrages du Colonel Charles De
Gaulle.
Le premier crédo des fanatiques de la voiture fumeuse aux cylindres brinquebalants est que la mise en place de la construction des véhicules électriques est onéreuse et demande l’exploitation de ressources naturelles rares. Quels qu’ils soient, voitures, camions, locomotives, etc. etc. ; le cycle de montage, à grande échelle, de ces véhicules équipés de propulsion électrique, est suffisamment maitrisé depuis les années 1960, pour qu’un technicien compétent puisse affirmer, sans se tromper, que le coût énergétique de la fabrication de tels produits industriels et leur large supériorité en matière d’obsolescence programmée sur les véhicules thermiques, sont bien moins coûteux en énergie et en matière première que ces derniers. Un moteur électrique sans collecteur par charbon, le moteur « Brushless » comme l’appellent les anglophones distingués, comporte en moyenne 475 phases d’usinage, le bobinage automatisé du stator compris. (Cf : Technologie des Machines à Champs Tournants, éd. Pujol, 1985). Les moteurs thermiques des années 1980 demandaient en moyenne 4500 phases d’usinage et leur carburateur, très complexe, à lui seul, demandait 700 opérations de production mécanique. Aujourd’hui, avec les systèmes à injections, nous sommes passés à 5000 phases pour le moteur et son alimentation en carburant. Mais, cette technique ajoute la conception et la programmation d’un calculateur gourmand en terres rares pour commander l’ensemble, avec des capteurs très fragiles, pratiquement irréparables, et surtout, inaccessibles après le montage initial. (Cf : L’évolution des moteurs à explosion, éd. Hachette, 2007) En gros, sur la seule partie mécanique, la construction d’un moteur thermique de quatre cylindres à essence demande 10 heures d’usinage sur des machines numériques 4 axes de plus de 200 Kw, soit, 2 Mw.h d’énergie électrique. Un travail équivalent pour un moteur électrique demande 3 heures de confection sur deux machines de 10 Kw en tout, soit, 30 Kw.h d’énergie électrique. De plus, sur les moteurs thermiques actuels, les jeux fonctionnels essentiels au fonctionnement du mécanisme, sont en fait, l’addition vectorielle des intervalles de tolérance des pièces assemblées. Or, malgré l’augmentation de la précision des machines de production, de nombreux jeux fonctionnels ne peuvent être réalisés que suivant une probabilité de 85 à 90 %. Cela signifie que 15 à 10 moteurs assemblés sur cent retournent à la fonderie. (Cf : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cotation_fonctionnelle ) La conception des moteurs électriques sans collecteur tournant, ne nécessite pas de jeux fonctionnels obligeant une prise de risque probabiliste à l’usinage. Donc, sans déréglage des machines de fabrication, 100 % des moteurs construits sont utilisables. Leur durée de vie est virtuellement infinie, seuls, les roulements à bille maintenant leur arbre tournant, sont à changer tous les 10 millions de kilomètres. Nous sommes loin du million de kilomètres maximum que supportent les moteurs thermiques, dans leur ensemble, avant de s’écrouler lamentablement. Le rendement des véhicules équipés de moteurs électriques, à l’usage, est exceptionnel. Mon expérience personnelle sur une distance de 12 500 Kilomètres, m’a permis de constater une consommation de 13Kw.h/100 Km. Cela représente, avec le litre d’essence développant 10Kw.h, 1,3 litre d’essence aux 100 Km. La moindre voiture thermique, pilotée avec circonspection, consomme 6 litres d’essence aux 100 Km, soit 4,6 fois plus qu’une voiture électrique. Cela s’explique par le fait, qu’un moteur thermique fait glisser des pistons aux segments frottant dans des cylindres, fait tourner une pompe à eau, un alternateur, un vilebrequin, des soupapes et le cortège de pièces mécaniques constituant la distribution. Il fait tourner aussi les roues en empruntant plusieurs trains d’engrenages et des cardans homocinétiques. Conclusion, si un moteur électrique, dans le plus mauvais cas, a un rendement de 85% en direct depuis ses batteries ; ce qui est vraiment très faible pour une machine à champ tournant sans frottement ; un moteur thermique, piloté par un conducteur ayant des œufs sous la pédale d’accélérateur, possède un rendement de 18%. Nous sommes loin des 30% annoncé par les détracteurs de l’électrique. 35% des conducteurs actuels, dans l’hexagone, sont de bons « Bourrins », qui roulent pied au plancher, en surrégime, sur la seconde file des 4 voies Françaises, avec des berlines atteintes d’obésité morbide, plus gourmandes en carburant que Gargantua en plats cuisinés. Résultat, la consommation totale de la France pour ses transports routiers, en tonnes équivalent pétrole : Tep, est de 52 millions. Cela représente le va et vient de 130 super tankers, lourds de 400 000 tonnes, dont chacun pollue autant que 10 000 000 de voitures thermiques pendant le voyage entre les puits et les raffineries. L’utilisation de l’aluminium pour la construction des voitures électriques est un faux problème. 80% de l’aluminium provient du recyclage de ce métal qui se prête avec une bonne volonté affichée à cet exercice. Dans un pays civilisé, avec de vrais ingénieurs et de vrais techniciens aux commandes des entreprises métallurgiques, le recyclage de l’aluminium se fait avec l’énergie renouvelable, des barrages hydrauliques, des éoliennes et des centrales solaires, voir même avec celle des centrales nucléaires, quand celles-ci produisent alors qu’il n’y a pas de demande massive d’électricité. Oui, une centrale atomique ne possède qu’un rendement de 30% parce qu’elle ne s’arrête pas en appuyant sur un bouton. Même en baissant les barres de graphites dans le cœur pour ralentir la circulation des particules d’uranium en pleine fission, la réaction dure au moins une semaine avant le refroidissement total du réacteur. La solution choisie à cette faille technique, par nos éminents décideurs, est complètement dépassée ; mais elle perdure. Ils gâchent la chaleur dans des refroidisseurs. (Cf : https://www.econologie.com/rendement-centrale-nucleaire/ ) Pour le solaire et l’éolien, le faible rendement qui leur est attribué est dû à la même démarche technologique aberrante. Ils produisent quand il y a du vent ou bien du soleil. Donc parfois, c’est quand on n’a pas besoin de beaucoup d’électricité. C’est durant ces périodes-là qu’on devrait recycler de l’aluminium ou bien de l’acier. Puis, accessoirement, comme il y aura certainement du surplus, on peut hydrolyser l’eau de mer pour stocker l’hydrogène dans des hydrures de magnésium ou de bore, eux-mêmes produits pendant cette opération. Dans des pays développés scientifiquement et sociologiquement, le solaire, l’éolien et la géothermie produisent plus que les besoins purement électriques du pays. C’est à ce moment-là qu’il faut recycler, l’aluminium, l’acier, le cuivre, les batteries au lithium, etc. … etc. … (Cf : https://fr.wikipedia.org/wiki/Stockage_de_l%27hydrog%C3%A8ne ) De l’hydrogène, du bore ainsi que du lithium peuvent être obtenus en hydrolysant de l’eau de mer avec des quantités d’énergies renouvelables ou nucléaires aujourd’hui dilapidées par des ingénieurs mono-neuronaux. Il reste enfin que l’usage de l’aluminium, pointé du doigt pour les véhicules électriques, est admis tacitement pour la fabrication bien plus complexe et énergivore des avions de ligne et de leur propulsion qui sont de véritables trous noirs, massifs, pour le Kérosène à base de pétrole qu’ils dévorent avidement. De même, la manufacture de l’aluminium est bien moins complexe et demande des machines bien moins puissantes que celles qui travaillent l’acier. Les emboutisseuses qui forment les pièces de carrosseries en aluminium ont bien moins besoin de puissance électrique pour accomplir leur tâche de celles qui forgent l’acier. Enfin, le recyclage et la production d’acier, demande l’apport de grandes quantités de charbon fossile afin d’introduire du carbone dans les cristaux de fer. Cela permet d’obtenir des alliages aux caractéristiques mécaniques normalisées et variées. La puissance énergétique, pour produire ou recycler et travailler une quantité d’acier donnée, est dix fois plus importante que celle nécessaire à un volume d’aluminium équivalent. Il y a aussi le problème de l’alimentation des voitures électriques. Le déploiement des bornes de recharge n’est pas plus onéreux, sur le plan environnemental, que la construction des stations de distribution de carburant fossile. De plus, ces mêmes stations nécessitent, pour pallier à la demande des automobilistes, des norias de camions citernes qui défilent tous les jours et toutes les nuits entre les raffineries de pétrole et les pompes de remplissage des voitures thermiques. Entre la pose sur le long terme d’un câble de 50 mètres et de trois bornes électriques sur le parking d’une petite ville qui fournissent entre 20 et 30Kw.h, venus directement de la centrale électrique et : - Le raffinage du pétrole qui exige de consommer 7 litres de fuel pour en produire 100, en permanence,Quelle procédure est la plus sensée et efficace financièrement et écologiquement parlant ? Il y a aussi un débat sur le rendement de la voiture électrique si on part de la centrale produisant l’électricité. Les turbines à vapeur actuelles, dans les centrales, sont toutes supérieures en puissance à 1200 Mw. Elles ont un rendement de 50%. (Cf : https://fr.wikipedia.org/wiki/Turbine_%C3%A0_vapeur ) La charge des voitures électrique à un rendement, actuellement, de 95%. (Cf : https://www.breezcar.com/actualites/article/deperdition-energie-recharge-batterie-voiture-electrique-1018 ) Leur moteur possède un rendement de 92% avec les nouvelles transmissions sur les roues. Donc, un véhicule électrique a un rendement total de 44%. Un moteur thermique a 18%, au mieux, de rendement. Donc quoi que vous fassiez, même en alimentant votre voiture électrique avec des batteries ; ce qui n’est qu’une technologie provisoire, déjà en fin de vie ; il vaut mieux alimenter 5 000 véhicules électriques sur une centrale, même à énergie fossile, que d’alimenter 5 000 véhicules thermiques, indépendants. Nous voici à la controverse la plus épineuse sur les voitures électriques : celle des batteries. Là, oui, nous sommes dans un marasme complet. Il est né de la société Néo-Libérale que certains ont acceptée pour le plus grand dépit et la plus grande douleur des autres. En effet, cette démarche socio-économique est redoutablement adaptée à la création de crises diverses, monétaires, alimentaires, médicales, technologiques, écologiques, etc. … etc. … Nous venons d’assister au plus grand chef-d’œuvre du Néo-Libéralisme depuis la crise de 1929 : la gestion de la pandémie provoquée par le COV-SRAS-2. En face d’un problème qui survient à cause de son schéma fonctionnel, figé et déjà obsolète ; alors qu’Adam Smith en édictait les règles de fonctionnement au XVIIIème siècle ; cette liturgie sociétale est complètement inapte et incompétente à réagir. Certes, les batteries utilisant du lithium minier, extrait et raffiné dans des conditions sociales et environnementales, épouvantables, sont un vrai fléau, au même titre que les pétroliers qui vident leurs ballasts en mer d’Iroise. Mais ce problème ne se limite pas aux voitures électriques. Les téléphones mobiles, les ordinateurs portables, les tablettes, les montres et les accumulateurs-piles rechargeables sont aussi coupables, mais là, personne n’en parle. Or, et c’est déjà le cas sur ma voiture personnelle, les batteries automobiles en Europe, sont composées d’éléments recyclés à 80%. Mais nous n’en sommes déjà plus là. Les batteries n’ont pas d’avenir dans le domaine automobile. Déjà, les hyper-condensateurs à graphite existent. Bientôt, la stabilisation de leur diélectrique permettra de les utiliser pour alimenter des voitures qui se rechargeront en 10 minutes, tous les 250 Km. (Cf : https://fr.wikipedia.org/wiki/Supercondensateur ) Et puis le développement du stockage de l’hydrogène dans les hydrures de magnésium et de bore va bientôt généraliser l’usage des piles à combustible, des locomotives aux avions en passant par les véhicules routiers. Même les voitures à moteur thermique pourront exploiter l’hydrogène pour rouler, bien que cela soit aberrant. Le Néo-Libéralisme et sa facilité à produire des pays de techno-crétins, pourraient retarder cette nouvelle révolution technologique. Mais, la pression Chinoise et Russe va obliger nos dirigeants à se bouger rapidement les rares neurones qu’ils ont encore fonctionnels. Car ces pays, dans ce domaine, avancent très vite. En Chine, à Shanghai, des bus électriques à super-condensateurs roulent déjà. La production de bore, de lithium, l’extraction de terres rares nécessaires aux nouvelles technologies, malgré l’inertie des Néo-Libéraux, est en train de basculer ; car ces derniers sont pris à la gorge par le « pic de production » de ces marchandises. Le recyclage apportera une réponse partielle mais inévitable aux conséquences environnementales de l’avancée vers la mobilité électrique, et surtout, l’hydrolyse de l’eau de mer par les énergies renouvelables et le stockage de l’hydrogène produite en heure de faible demande, sera la révolution industrielle du XXIème siècle. En France, nous avons un patrimoine solaire, voltaïque et thermique, immense. Ce dernier, exploité en parallèle avec des éoliennes à axe vertical (surtout pas à axe horizontal qui est une hérésie aérodynamique) dont la production serait sublimée par le potentiel de notre pays dans ce domaine, pourrait largement, si nous stockions de l’hydrogène produit pendant les périodes de demande faible, nous débarrasser des centrales à combustibles fossiles et mêmes des centrales nucléaires. Rien n’empêcherait de continuer à travailler sur les centrales thermonucléaires. Les Stellarators, plus compacts, deviennent plus efficaces pour générer du plasma stable que les lourds et massifs Tokamaks. Deux de ces réacteurs pourraient donner à la France des 5 prochaines décennies toute l’électricité dont elle aura besoin à partir de quelques litres d’hydrogène. Arrêtez donc de râler après les voitures électriques ! Elles ne sont que les prémices d’un avenir que nous pourrions connaître, si le concept économique qui nous régie change enfin radicalement. Avant la transition écologique, pratiquons la transition politique, rapidement… |