Navigation
Accueil général * Choix archives * Site littéraire * Archives 2021 * Nouvelles publications * stats économiques au monde
Article 1 : LE GOUVERNEMENT DES MINETS PIQUANTS
par Jean-Jacques REY
Article
2 : VOUS AVEZ DIT COMPLOTISTE ?
par Christian CAMPICHE
Article 3 : CORONAVIRUS ET VUE DE PFIZER, C'EST L'EXACT CONTRAIRE D'UN VACCIN
par Do
Article 4 : GUERRE TOTALE, PAS DÉCLARÉE, MAIS REVENUE
par Frédéric BOUTET
Article 5 : IL DEVIENT URGENT D'ÊTRE LIBRE : Non au passe "sanitaire" !
par COLLECTIF D'ARTISTES
Il y a décidément dans ce gouvernement Macron, des spécialistes de
l’injonction et de l’injection qui prennent leur cas pour une
généralité et voudraient que cela oriente le traitement des affaires
publiques ; leur désordre intérieur
devenant en quelque sorte un modèle à suivre pour vivre en société… Et
jusqu’où cela peut aller ? Les résultats sont déjà
spectaculaires. Et pour les prochaines élections présidentielles, on
veut nous installer (depuis longtemps grâce
au genre médiatique lèche-cul) dans le duel « tant
attendu » : Macron - Le Pen, quelle
comédie ! La dégénérescence du personnel politique est
indubitable en France, à l’image de la débandade de l’Occident
corrompu face aux « durs à cuire » radicalisés
qu’il motive par l’étalement de ses valeurs bourgeoises : cyniques mais
lâches, axées sur le principe du "fort
avec les faibles, faible avec les forts",
et cela visiblement en moult endroits du globe
(l’Afghanistan n’étant pas un cas isolé) ! Ce qui caractérise cette époque, c’est une cascade de contraintes et d’obligations en tout genre. Nous sommes constamment en régime d’exception et certains dénonciateurs de « criminels » (qui s’oublient eux-même) en veulent encore plus, en forçant les gens à être dépossédés de leur corps, c’est à dire à imposer à tous une vaccination aux effets éphémères, avec des produits d’ingénierie pharmaceutique, expérimentaux (vaccins à ARNm), qui n’empêchent pas de contaminer les autres et d’être contaminé soi-même, et, qui, d’après les faits rapportés de manière très partielle à l’Agence Européenne du Médicament (voir base de données sur EudraVigilance)*[confer notes], sont déjà suspectés d'avoir occasionné des centaines de milliers de complications post-vaccinales dont une bonne moitié sont graves, ainsi que d'avoir provoqué des milliers de morts directement imputables aux vaccins anti-Covid. On ne parle même pas de libertés fondamentales, bafouées ou ignorées ; mais de provoquer et d’insulter les consciences citoyennes qui ne se laissent pas abuser. En d’autres temps, ce genre d’attitude amenait aux pires extrémités… C’est bien vrai, nous sommes en guerre (question d’ordre moral avant tout), et alors, n’est pas maître des résultats et de l’issue, obligatoirement qui veut ; les institutions pouvant paraître un barrage bien mince… En outre, je constate que ce gouvernement Macron tombe régulièrement dans les pièges développés par ses adversaires qui usent de surenchères, en politisant des affaires d’ordre sanitaire débouchant sur des conflits qu’ils enveniment, au risque de provoquer des décisions stupides, notamment de technocrates dans l’Administration qui tentent par tous les moyens de se mettre à l’abri de tracasseries juridiques. Incidemment, en sus, soulignons que certains pontifes médicaux ne respectent plus tout à fait le serment d’Hippocrate qui veut (entre autres) qu’on ne profite pas des circonstances pour prendre le pouvoir ou imposer ses vues par la force… Tout ça est orchestré, semble-t-il, pour une grosse affaire commerciale (d’abord avec le problème des brevets…) plus qu’une préoccupation sanitaire, à l’échelle planétaire. On peut se poser des questions légitimes sur les desseins réels de ces entreprises de conditionnement des esprits à moins d’être décervelé ! C’est du blabla peut-être et pain béni pour des médias racoleurs, soucieux de leur influence, mais cela n’enlève rien à la réalité des faits qui font douter. De toute façon, nous ne sommes pas informés honnêtement (l’avons-nous jamais été ?) tant la volonté de « faire l’opinion » est forte chez ceux qui actionnent les commandes des pouvoirs… S’agissant de la population en général, il nous faut rester imperturbable et résister aux pressions. Nous donnons trop facilement quitus à ceux qui nous traumatisent. Je n’ai jamais assisté à une telle opération de dressage mental (si on excepte mon expérience dans l’Armée) et je pense qu’il faut remonter au moins à la seconde guerre mondiale pour relever ça dans sa globalité. Ajoutons dans la foulée que le « crédit social » à la chinoise semble donner des idées à certains parmi nos dirigeants et technocrates qui sont suspectés, à tort ou à raison, de verser dans le transhumanisme… Je vous le demandais bien : jusqu’où cela peut aller le désordre mental de soi-disant "élites" devenant délire (de société) ?! L’accaparement de la République (et de ses intérêts) par des clans et coteries, pas tous reluisants, tel est le problème devenu aigu aujourd’hui pour la démocratie, s’il a déjà été révélé moult fois dans le Passé. Car nous sommes gouvernés par des minets piquants car piqués, dira-t-on en langage satirique ; et ; ce n’est guère étonnant que cela déteigne sur une partie con-séquente de nos concitoyens… On sent de nouveau les effluves du maréchal « Pétrin » (1940) ces temps-ci : moi ou le chaos, tous après moi, viendra, le déluge ! Quand le péril est à demeure, on voit tout de suite les points faibles… N’est-ce pas ? Jean-Jacques
REY
jj-pat-rey.com/INTERNET-TRIBUNE-LIBRE/index.html * Notes : - Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments - EudraVigilance - POURQUOI LA PROTÉINE SPIKE EST TOXIQUE DANS LE COVID-19… ET AUSSI DANS LES VACCINS ARNM ET ADN - 20,595 Dead 1.9 Million Injured (50% Serious) Reported in European Union’s Database of Adverse Drug Reactions for COVID-19 Shots *********************************** Sélection
d'articles significatifs (à mon goût) :
________________________________ Vaccins et vaccinations : ce qu’il vaudrait mieux savoir passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=vaccination-a-savoir "Une guerre de religion plutôt qu'un débat scientifique Article rédigé par Marc Girard, mathématicien de formation, devenu médecin, spécialiste de iatrogénie (effets indésirables des traitements médicaux) avec la collaboration de Raïssa Blankoff, naturopathe. C’est un peu comme la poule et l’œuf. On ne sait pas qui a commencé : des anti-vaccinalistes existent depuis que les vaccins existent, et réciproquement… Si, par leur violence et, souvent, par leur simplisme, les arguments échangés entre les deux camps ont plus l’allure d’une guerre de religion que d’un débat scientifique, il n’est pas facile d’écrire l’histoire de cette guerre. Clamant – évidemment sans la moindre preuve sérieuse – qu’aucune intervention médicale « n’a eu autant d’impact sur la réduction de la mortalité et la croissance de la population »1, les pro-vaccins aiment à présenter leurs adversaires comme scientifiquement rétrogrades et franchement sectaires ; réciproquement, les anti-vaccinalistes se plaisent à brouiller les cartes en se définissant parfois comme principalement concernés par les « libertés » (alors que leurs critiques dépassent largement les seuls vaccins obligatoires), tout en promouvant avec foi et ardeur des médecines « alternatives » ou « parallèles » dont le rapport avec l’immunisation ne va pas toujours de soi. L'impact de la grippe H1N1 Aussi traditionnel soit ce conflit, ses lignes allaient significativement bouger en 2009, lors de la fausse alerte autour de la pseudo-pandémie H1N1. L’incompétence des autorités sanitaires, la grossièreté de leur alarmisme, le ridicule de leurs incohérences et, bientôt, le démenti des faits, allaient conduire nombre de personnes – incluant des professionnels de santé naturellement peu portés sur la contestation – à s’interroger pour la première fois sur les enjeux cachés des campagnes vaccinales. De l'autre côté, minés par leur opposition-réflexe concernant les vaccinations en général, les antis allaient passer à côté de problèmes pourtant fort inquiétants au sujet de cette vaccination. Il serait facile de montrer qu’ils n’ont joué aucun rôle significatif dans le rejet massif de la population à l'égard de cette promotion. Une promotion dont des enquêtes ultérieures (notamment celle menée par le British Medical Journal) allaient montrer qu’elle avait été manigancée de toutes pièces par les fabricants, avec la complicité intéressée de l’Organisation Mondiale de la santé. Pour la première fois, les gens avaient clairement compris qu’au-delà des articles de foi "pour ou contre « LA » vaccination", chaque vaccin était un médicament parmi d’autres, justiciable à ce titre de l’analyse rationnelle normalement requise pour un tel produit : quel bénéfice attendu, quels risques envisageables, quelles preuves d’efficacité, quelles garanties de bonne tolérance, quel coût ? En éclairant le débat public par les contraintes de ce qu’on appelle classiquement « le technico-réglementaire pharmaceutique » (essais cliniques, modalités d’autorisation de mise sur la marché, de fixation du prix et de décision de remboursement, surveillance après commercialisation, promotion commerciale, indemnisation en cas d’accident…), on était sorti du religieux... Pour la première fois... S'appuyer sur une grille d’analyse précise et spécialisée, fait toutefois apparaître le risque lié aux potentiels conflits d’intérêts des experts en charge de l’appliquer : pour la première fois, on allait découvrir sans la moindre ambiguïté que les conseils de l’administration sanitaire qui avaient recommandé la vaccination contre le H1N1 comme une urgence de santé publique, étaient tous liés financièrement aux fabricants de cette vaccination… La prévention au service des lobbies Faute d’une culture médico-pharmaceutique suffisante pour cerner les véritables enjeux du débat, les anti-vaccinalistes n’ont joué aucun rôle significatif dans le rejet massif d’une propagande vaccinale sans précédent. Il a néanmoins fallu, pour contrer efficacement la collusion des marchands et des gouvernements, un minimum de conscientisation relative aux graves dérives d’une industrie pharmaceutique soudain débarrassée de tout souci sanitaire et passée, via des fusions récentes et gigantesques, sous la coupe des lobbies financiers les plus impitoyables. Car le premier constat des escrocs désormais aux commandes avait été d’une aveuglante simplicité : pourquoi limiter le marché pharmaceutique aux malades, alors qu’à l’évidence, il y avait bien plus de bien-portants ? Mais aussi, et par voie de conséquence : comment ouvrir le marché des médicaments à des gens qui n’en avaient nul besoin ? Élémentaire, mon cher Watson : il suffit de leur promettre une prévention. Ce n’était pas vraiment l’argumentaire du Dr Knock (« Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent »), mais quelque chose d’un peu contourné : par la faute du Bon Dieu (ou d’Adam et Ève, c’est selon), vous allez tous mourir un jour et, le plus généralement, tomber malade, mais nous avons les moyens de prévenir la maladie. Or, quelle « prévention » plus naturelle que celle promise par « LA » vaccination – surtout quand elle était posée comme article de foi ? On en revient au religieux : c’est normal, puisqu’on parlait du Bon Dieu…" .../... ________________________________ Certitudes et incertitudes coronavirus/vaccins Par Professeur Luc Montagnier [ Prix Nobel de physiologie ou médecine en 2008 avec Françoise Barré-Sinoussi pour « leur découverte du virus de l'immunodéficience humaine » ] Mondialisation.ca, 06 septembre 2021 mondialisation.ca/certitudes-et-incertitudes-coronavirusvaccins/5659904 "1/ Les Coronavirus d’une manière générale ne sont pas dangereux. Ils sont responsables de syndromes grippaux. Mais le SARS-Cov2 peut en outre être responsable de troubles temporaires de certains sens (goût, odorat et même audition). Ils peuvent se compliquer s’ils ne sont pas traités précocement. Les complications les plus dangereuses sont surtout au niveau respiratoire (infection et insuffisance respiratoire nécessitant assistance) et au niveau cardiaque (myocardites et péricardites) mettant la vie en danger. Ils atteignent surtout des personnes en co-morbidités (surpoids-obésité, diabète, hypertension artérielle, immunodépressions connues ou inconnues…). En mutant le virus original se transforment en ”variants”. Ceux-ci heureusement diminuent leur dangerosité (charge pathogène) au fur et à mesure de leur évolution à partir du virus original. 2/ Le Coronavirus SARS-COV2 a une origine naturelle qui a été modifiée dans un laboratoire d’où il est sorti. C’est une chimère pathogène. .../... 4/ Les variants sont d’autant plus fréquents que les vaccins se généralisent. Le coronavirus comme tous les virus à ARN, a une forte capacité à changer, se modifier, varier, on dit aussi muter. Il vit et se reproduit après avoir pénétré dans les cellules humaines. Pour cela il copie son génome au sein de la cellule qu’il a infectée, ce qui consiste à recopier chaque lettre (base) de son brin d’ARN. De nouvelles particules de virus vont être formées dans la cellule infectée, contenant ces copies d’ARN et vont rentrer dans d’autres cellules et les infecter à leur tour. L’entrée du virus dans la cellule se fait à l’aide de la protéine Spike du coronavirus qui se fixe sur certains récepteurs de la cellule du patient, dits ACE2, localisés en particulier au niveau du poumon et de l’intestin grêle. Sur ces récepteurs, la protéine Spike fonctionne comme une clef pour ouvrir une porte. Les nouveaux variants se forment d’autant plus que l’on vaccine. Ils sont causés par des mutations sur la protéine Spike. Le virus sait parfaitement contourner les vaccins dont l’efficacité se réduit au fur et à mesure de leur utilisation. Les vaccins ont déjà perdu 50% de leur efficacité face au variant delta. Lors de la copie du génome du coronavirus, des erreurs sont observées : une lettre peut être remplacée par une autre (substitution), rajoutée (insertion) ou effacée (délétion). Ce sont les mutations et elles apparaissent aléatoirement. On ne sait pas quand, ni où elles vont apparaître dans la molécule d’ARN, sur quelle molécule de protéine, ni quelle erreur va être créée. C’est un phénomène normal que l’on observe dans tous les virus. Les vaccins à ARN messager (ARNm) injectent dans le corps du vacciné de l’ARNm qui va faire fabriquer la protéine Spike en grande quantité. En réaction les défenses immunitaires de l’organisme (si elles sont robustes) produisent des anticorps anti-protéine Spike pour éviter les complications de la maladie. Les mutations affectant la protéine Spike sont très suivies par les scientifiques. Au 15 décembre 2020, les chercheurs qui analysent les coronavirus britanniques avaient déjà identifié 1777 mutations différentes qui modifient la protéine Spike. On a mesuré que pour SARS-CoV-2, environ 2 mutations apparaissent chaque mois. Le virus est plus malin que les vaccins. Quand il mute, il mute sur la protéine Spike fabriquée après vaccination. La vaccination favorise donc la fabrication des variants. Ainsi les variants peuvent devenir plus contagieux, mais ne l’oublions pas, ils sont moins dangereux. .../... Les cellules infectées par le virus deviennent inflammatoires et peuvent en outre être infectées par les bactéries présentes dans le microbiote respiratoire. Le SARS-Cov2 et ses vaccins ne sont en rien comparables aux virus et vaccins contre les diphtérie-tétanos-polio (DTP), les rougeole-oreillons-rubéole (ROR) ou la variole ou même le bacille de la tuberculose. Pour être efficace, le vaccin a besoin d’un bon système immunitaire. Chez les personnes fortement immuno-déprimées, les vaccins ne sont pas efficaces. 7/ Vacciner en période épidémique est un non-sens, augmentant les effets indésirables : les épidémiologistes le savent. En Europe actuellement, il est très difficile de savoir le nombre exact dans chaque pays des effets secondaires et des éventuels décès liés aux différents vaccins." .../... ________________________________ Pass sanitaire: Pourquoi mépriser les antivaccins n'est pas une solution Assimiler les personnes hésitantes à se faire vacciner contre le Covid-19 à des complotistes ou des personnes irrationnelles ne mène pas à des débats constructifs. Par Marine Le Breton ; 14/08/2021 16:42 huffingtonpost.fr/entry/covid-19-pourquoi-mepriser-les-antivaccins-nest-pas-une-solution_fr_61163569e4b0454ed70c6ead "VACCINATION - Alors que près de 200 manifestations contre le pass sanitaire ont été organisées partout en France, ce 14 août pour le 5e samedi de suite, les critiques à l’encontre des personnes refusant ou hésitant encore à se faire vacciner ne cessent de se faire entendre. D’un côté, ils sont considérés comme des antivax complotistes, de l’autre, ils sont jugés irrationnels et mal informés sur le sujet. De fait, le mépris à l’encontre de cette partie de la population est une posture dans laquelle il est facile de se glisser. Pourtant, loin d’être la solution, cette opposition est même contre-productive dans les débats autour de la vaccination. “Une véritable guerre d’opinion” “On assimile d’abord la méfiance envers les vaccins contre le coronavirus à de l’antivaccination, puis l’antivaccination à du complotisme. Ces deux mouvements permettent de rattacher une opinion spécifique (sur l’efficacité, la sûreté et la nécessité d’un vaccin contre le Covid-19) à un camp beaucoup plus vaste au sein d’une véritable guerre d’opinion”, explique Thomas Bonnin, chercheur en philosophie de la médecine, dans un article intitulé “Il est stérile de rattacher l’hésitation vaccinale au complotisme. “D’un côté, les défenseurs des sciences, de la raison et de l’objectivité, attachés aux idéaux des Lumières, au progressisme et à la démocratie. De l’autre, les complotistes, masses biberonnées aux fake news et abreuvées des flots putrides et populistes des réseaux sociaux”, poursuit-il. “La vaccination fait aujourd’hui l’objet d’un consensus scientifique, d’une autorisation officielle et d’une injonction morale. Elle est martelée comme la seule solution de sortie de crise face à cette pandémie. Les antivaccins sont donc présentés comme des opposants, à la fois, à la raison scientifique et à la santé publique”. .../... Considérer que celles et ceux qui refusent le vaccin font forcément preuve de défaillance de la rationalité est une erreur. Parmi eux, nombreux sont ceux qui expriment une défiance envers la politique. “Certes, le produit injecté en lui-même fait partie des raisons profondes pour lesquelles les antivaccins se font entendre en France, mais il faut aussi considérer la manière dont les mesures politiques ont été amenées, de manière assez autoritaire, parfois un peu brutale et culpabilisante. Cela n’a pas créé les conditions pour que les individus hésitants ou ayant des craintes soient à l’aise avec le vaccin”, note le spécialiste de philosophie des sciences. S’ajoutent à ceux-ci tous ceux qui, loin d’être des antivaccins profondément convaincus, ont tout simplement des craintes, sans être complètement fermés à la vaccination en général. “Les hésitations des personnes non vaccinées sont en partie rationnelles. L’annonce du pass sanitaire a polarisé encore plus les deux camps, d’un côté les ‘bons’ qui se vaccinent, de l’autre les ‘mauvais’ qui ne se vaccinent pas. Le fait que les gens hésitent n’est pas forcément un signe de défaillance de la rationalité”, note auprès du HuffPost Samuel Lepine, maître de conférences en philosophie morale et politique à l’université Clermont Auvergne." .../... ________________________________ Sur les effets indésirables des vaccins anti covid par Mellipheme lundi 23 août 2021 agoravox.fr/actualites/article/sur-les-effets-indesirables-des-235273 "Petit article proposant une synthèse des données officielles (Union Européenne) relatives aux effets indésirables des vaccins anti covid. Beaucoup d'affirmations péremptoires plus ou moins biaisées peuvent être lues ou entendues dans les médias sur les vaccins anti-covid utilisés en Europe. Il est bon de revenir aux chiffres bruts officiels pour se faire une opinion fondée sur les faits. Dans ce bref article je n'aborderais pas l'aspect « efficacité des vaccins » mais uniquement l'aspect « dangerosité des vaccins ». La base de données EudraVigilance rapporte qu'au 21 août 2021, 850 798 blessures avaient été signalées suite aux injections des quatre vaccins expérimentaux contre le COVID-19 dans les pays de l'UE : .../... Sur le total des blessés recensés, 388 377 sont des blessés graves . Le mot blessures est utilisé ici comme traduction du mot « injuries » utilisé sur les sites officiels. Cela correspond à un effet secondaire indésirable, mais je garderais la traduction de « injuries » par « blessures » par facilité. Le plus important est sans doute la notion de gravité associée à une « blessure » ; « La gravité renseigne sur l'effet indésirable suspecté ; il peut être classée comme « grave » si il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante, ou la prolongation d'une hospitalisation existante, entraîne une invalidité ou une incapacité persistante ou importante , ou une anomalie congénitale/malformation congénitale. » .../... Le 20 août 2021, 277 532 117 personnes ont reçu au moins une dose de vaccin dans l'UE, et parmi elles 241 536 076 ont été complètement vaccinées. Source : (5) Cela signifie qu'environ 0,30 % des personnes vaccinées (une ou deux doses) ont subi des « blessures » et parmi elles 0,14 % ont subi des « blessures graves ». Plusieurs spécialistes ont déclaré que ces chiffres sont fortement sous-estimés, certains pays rapportant beaucoup moins de cas de blessures que d'autres comme on peut le mesurer par le ratio Nbr de cas signalés / Nbr d'injections. Je ne ferai pas de commentaire là-dessus, bien que les liens fournis dans cet article permettent à tout lecteur de se faire son propre jugement (avec un peu de travail !). Pour faire court et s'en tenir aux chiffres officiels : Dans l'UE , entre le 2 janvier 2021 (date de début des vaccinations dans l'UE) et le 20 août 2021, le covid a fait au total 197 857 morts ( réf. :6) et les vaccins ont causé (au moins) 388 377 blessés graves. Le chiffre de 197857 morts est obtenu en soustrayant 749909 - 552052, à savoir le nombre total de morts depuis le début de la pandémie moins le nombre de morts avant le 2 janvier 2021. Chacun jugera ces données comme il l'entend, au moins pourrons-nous nous référer à des données en principe indubitables. Bien entendu, pour apprécier le rapport risques / bénéfices des vaccins, il faudrait pouvoir comparer le nombre des "blessures graves" dues aux vaccins au nombre de morts que ceux-ci ont pu éviter. Malheureusement on entre là dans le domaine des estimations plus ou moins biaisées des "spécialistes" et autres experts statisticiens, domaine qui touche à la problématique de l'efficacité réelle des vaccins et dans lequel je n'ai rien de précis et de nouveau à proposer." .../... ________________________________ "Pourquoi le passe sanitaire est illégal, malgré la décision du Conseil constitutionnel" Tribune publié le 28/08/2021 à 11:29 marianne.net/agora/tribunes-libres/pourquoi-le-passe-sanitaire-est-illegal-malgre-la-decision-du-conseil-constitutionnel "Des avocats et juristes expliquent pourquoi le passe sanitaire instauré par la loi du 5 août relative à la crise sanitaire est, selon eux, contraire au droit international et par conséquent illégal. Le Conseil constitutionnel s’est penché sur le passe sanitaire mais seulement au regard de la Constitution. La conformité de la loi du 5 août et de ses décrets au droit international peut, par conséquent, être examinée à l’occasion d’un procès, par exemple si un citoyen s’étant vu refuser l’accès à un restaurant ou un TGV soulève ce point en justice. Le droit international ayant une valeur supra-législative, les juges sont compétents pour écarter des dispositions légales ou réglementaires qui lui seraient contraires. Dans son avis du 19 juillet 2021, le Conseil d’État indique que pour apprécier un dispositif prévu de mise en place d’un passe sanitaire, il prend en compte notamment le fait que ce dispositif : - « ne puisse avoir pour effet, sauf dans des situations exceptionnelles, de remettre en cause la possibilité pour l’ensemble de la population d’accéder à des biens et services de première nécessité ou de faire face à des situations d’urgence ; […] - ne porte pas au droit des intéressés au respect de leur vie privée, une atteinte disproportionnée en particulier en les contraignant à révéler une précédente contamination ou à dévoiler très fréquemment leur identité dans les activités de la vie quotidienne ; - ne crée pas de différences de traitement dépourvues de justifications objectives entre les activités soumises au dispositif et celles qui n’y sont pas soumises ». Disproportionnée Sur le premier point, le tribunal administratif de Versailles vient de suspendre l’arrêté du préfet des Yvelines du 19 août 2021 fixant la liste des grands magasins et centres commerciaux du département dont l’accès est subordonné à la présentation du passe sanitaire, au motif qu’il ne prévoit pas « les conditions garantissant l’accès des personnes ne disposant pas de passe sanitaire aux établissements commercialisant des biens de première nécessité situés dans l’enceinte de ces magasins et centres ». C’est dire si le juge administratif entend faire respecter les limites posées par le Conseil d’État. « Il est exigé dans les transports publics interrégionaux mais non dans les transports publics régionaux, comme si le virus se transmettait dans les TGV mais non dans les TER. » Sur le deuxième point, le décret prévoit que « les personnes et services habilités [à contrôler le passe sanitaire] peuvent lire les noms, prénoms et date de naissance de la personne concernée par le justificatif, ainsi qu'un résultat positif ou négatif de détention d'un justificatif conforme » : comment une telle atteinte à la vie privée ne serait-elle pas disproportionnée dès lors que les personnes sont contraintes de révéler une précédente contamination ou de dévoiler très fréquemment leur identité puisqu’il s’agit d’activités de la vie quotidienne (restaurants, cinémas, trains) ? Surtout, le dispositif crée des « différences de traitement dépourvues de justifications objectives ». Ainsi, le passe sanitaire est exigé pour fréquenter les restaurants et cafés mais non les lieux de restauration collective ou de restauration professionnelle routière. Ou encore, il est exigé dans les transports publics interrégionaux mais non dans les transports publics régionaux, comme si le virus se transmettait dans les TGV mais non dans les TER. Atteintes aux libertés Quant à l’objectif poursuivi, s‘il est de garantir, sur les lieux concernés, la seule présence de personnes « protégées » contre le virus SARS-CoV-2, alors la présence d’anticorps chez une personne devrait pouvoir servir de passe et l’exclusion de ces personnes est discriminatoire. Si l’objectif est d’assurer la seule présence de personnes ne présentant pas un « risque » de transmission du virus, alors l’obligation de présenter ce passe n’est pas justifiée par l’objectif visé puisque les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contagieuses, et que le CDC, l'agence de santé publique américaine, affirme même que les personnes vaccinées sont aussi contagieuses avec le variant Delta que les personnes non vaccinées. « L’interdiction de visite pour non-détention du passe porte à la vie privée et familiale ne peut qu’être considérée comme grave et manifestement illégale. » Les interdictions d’accès à certains lieux ou services imposées à ceux qui ne présentent pas un passe ne sont par conséquent justifiées ni par la nature de la tâche à accomplir ni par l’objectif poursuivi. Elles constituent dès lors des atteintes disproportionnées aux libertés protégées par la Convention européenne des droits de l’homme et la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne. .../... En conclusion, signalons que, si le présent propos s’en tient au passe, la conformité de la loi de gestion de la crise sanitaire au droit international est encore en cause dans son volet instaurant l’obligation vaccinale pour certains professionnels. Il y a là encore en vue de nombreux contentieux car le respect par la loi des normes à valeur supra-législatives n’engage rien de moins que la survie de l’État de droit." ________________________________ |
Transmission personnelle le
31/05/2021 d'un article par Alain SAGAULT
Sites : sagault.com ; ateliersdartistes.com/-LE-GLOBE-DE-L-HOMME-MOYEN-.html
Source :
infomeduse.ch/2020/05/17/vous-avez-dit-complotiste
17 mai 2020 Que n’y avait-il
pas pensé plus tôt ? Vous verrez que le lobby suisse des OGM ne va pas
tarder à s’inspirer des installateurs de 5G et des fabricants de
vaccins. Lesquels décrètent que toutes les voix critiques ne
sont que complotistes ! Comme le sont, les personnes
allergiques aux projets médicaux du grand Bill. Gates, bien sûr. Un pur
philanthrope, un ami de l’Afrique, tellement préoccupé par la santé de
ses habitants.
Cherchez « complotisme » sur wikipedia, vous y lirez des pages et des pages. Dans les années 60 déjà, la CIA faisait porter le chapeau d’une théorie non autorisée à un groupe de personnes, plus ou moins occulte. Par extension, ceux qui contestaient la thèse officielle de l’assassinat de Kennedy, en firent les frais, ils n’étaient que des complotistes. Le dictionnaire en ligne ne dit rien à ce sujet mais on peut supposer que si le terme de complotiste avait existé au début du 17e siècle, Galilée en aurait aussi été affublé par l’élite dominante, laquelle prétendait que la Terre était plate. Comme toutes les nébuleuses, le complotisme rend service aux grands prêtres de l’Inquisition, ces pharisiens qui lancent l’anathème contre les idées dérangeantes, donc dangereuses pour les pouvoirs établis. À sa manière, le monde de la science participe aussi de cette imposture. Lui qui dénonce l’obscurantisme des moines copistes, ne montre pas davantage de tolérance pour ceux qui contestent ses dogmes...: ou ne font tout simplement que s’interroger ; ce qui est le droit de tout citoyen. Or qui peut prétendre détenir la vérité ? La 5G est-elle vraiment inoffensive pour la santé ? Les vaccins provoquent-ils des effets secondaires, indésirables ? Le confinement est-il vraiment la solution pour éradiquer le virus ? Naïveté, facilité ou mauvaise foi ? Le complotisme n’est qu’une hypothèse difficile à prouver ; pourtant les médias s’y réfèrent sans cesse. Ils font appel à des experts auto-proclamés qui jettent au rebut toutes les entreprises ou opinions non conformes au directives officielles. Encouragé par le présentateur du journal, un sociologue est venu sur le plateau de la RTS expliquer l’origine des rassemblements de mécontents en période de déconfinement. Des rapprochements avec la naissance du bolchévisme et du nazisme ont été évoqués. Se référant à une recherche de sa cellule d’enquête sur les réseaux sociaux, le Blick, de son côté, est allé jusqu’à lier certains manifestants à des groupuscules néonazis. La cause est entendue. On brasse le tout pour en fabriquer un magma indigne de considération. La stratégie du discrédit avait affecté de la même manière le mouvement altermondialiste dans les années 2000. Les médias focalisaient sur les casseurs du black-block au lieu de relayer le contenu de débats de haut niveau. Les complotistes étaient alors ceux qui mettaient en garde contre le réchauffement climatique… |
Envoi
personnel du 02/09/2021 d'un article par Do
Site : mai68.org/spip2
Source :
mai68.org/spip2/spip.php?article9546
Jeudi 9 septembre 2021 Préliminaire :
Si Macron voulait notre bien, s'il voulait améliorer la santé publique,
il ne continuerait pas aujourd'hui-même à supprimer des lits
d'hôpitaux...
Bonjour à toutes et à tous, Un vaccin, c'est quoi ? On injecte dans le corps une substance, un virus inactivé ou atténué, que le corps va reconnaître comme étant étranger afin qu'il puisse ainsi s'entraîner à le combattre. Avec Pfizer ou Moderna, on introduit dans le corps une substance déguisée de façon à ce que le corps ne puisse pas la reconnaître comme étrangère. L'ARN de la "protéine Spike" du coronavirus est en effet camouflé dans des nanoparticules lipidiques, et le corps va prendre ça pour des petites boules de graisse inoffensives. Pfizer n'est pas un vaccin, c'est le contraire d'un vaccin. Pfizer camoufle l'ARN qui code pour la protéine Spike du coronavirus afin que les défenses immunitaires du corps ne le détruise pas immédiatement. Cet ARN va ensuite pousser les cellules du corps à synthétiser la protéine Spike. Ensuite, le corps va pouvoir s'entraîner à combattre la protéine Spike du coronavirus, et donc le coronavirus lui-même. C'est ça, l'idée de Pfizer. L'inconvénient, c'est que l'ARN de Pfizer peut très bien se transformer en ADN grâce à une enzime souvent présente dans le corps : la Transcriptase inverse qu'on a déjà appris à connaître à cause du SIDA (*). Transcriptase inverse qu'on rencontre aussi dans les spumavirus qui sont totalement inoffensifs chez l'homme. Donc, on ne peut pas savoir comme ça [naturellement] si l'on a ou pas des spumavirus ainsi que leur transcriptase inverse. Et il existe aussi une autre enzime, l'intégrase, qui permettra à l'ADN de la Spike de s'intégrer dans l'ADN de celui qui reçoit Pfizer (**). Ce ne sera bien sûr pas souvent le cas ; mais, si le vacciné a la malchance que l'ARN de la Spike s'intègre à son génome, toutes les cellules de son corps vont se mettre à produire tout plein de Spike jusqu'à la fin de sa vie. Le problème, c'est qu'il a été prouvé que la protéine Spike suffisait à elle seule pour provoquer les symptômes du covid. Donc, si le vacciné n'a pas de chance, il aura trop de protéine Spike en permanence, en lui, pour pouvoir s'en défendre. C'est le vaccin qui lui aura alors donné le covid. Thérapie génique Le vaccin Pfizer, c'est en pratique de la thérapie génique appliquée à des gens qui ne sont pas malades. Une thérapie doit être donnée à des malades, pas à des gens sains. Prenons un exemple, pour soigner un malade du cancer, une thérapie possible consiste à lui faire des rayons, c'est-à-dire à envoyer de la radioactivité sur ses cellules cancéreuses pour les tuer. Mais, la radioactivité peut elle-même provoquer le cancer. Donc, les rayons destinés à soigner le cancer peuvent à leur tour entraîner ce qu'on appelle un cancer induit. Cependant, quand on a un cancer et qu'on va mourir, le risque d'attraper un cancer induit par le médicament destiné à soigner est largement acceptable. MAIS, quand on n'est pas malade, va-t-on accepter de courir le risque de recevoir des rayons ? Bien sûr que non ! C'est pourtant le genre de risque que l'on prend quand on accepte de se faire injecter le faux-vaccin Pfizer. Pfizer, c'est de la thérapie génique imposée à des gens qui ne sont pas malades. Pourquoi Macron nous impose-t-il cela ? Parce qu'il a fait fortune grâce à Pfizer. À l'époque où il travaillait pour Rothschild, il a fait une seule grosse opération financière. Elle concernait Pfizer et lui a rapporté des millions d'euros. Il est donc redevable à Pfizer : [voir à cette adresse pour développements] : mai68.org/spip2/spip.php?article9374 Bien à vous, Do
mai68.org/spip2
* Notes :
(*) Le SIDA est provoqué par le
virus HIV qui est en fait un rétrovirus, donc un virus ARN muni
de la transcriptase inverse et de l'intégrase. (**) Il est courant que le codage génétique d'un virus s'intègre à notre code génétique. On sait maintenant que 8% de notre ADN provient de virus dont on a intégré le code génétique. Par exemple, la possibilité pour les femmes de tomber enceinte provient de l'intégration du code génétique d'un virus par les mammifères qui a permis à leur système immunitaire de ne pas reconnaître, pendant la gestation, le fœtus comme un corps étranger à combattre. |
Envoi
personnel du 08/07/2021 d'un article par Frédéric Boutet
Site : p-plum.fr
Le
8 juillet 2021
Bonjour, Planète Terre. Cet automne dans l'hémisphère nord, au moment des habituelles épidémies saisonnières, la propagande va s'abattre à nouveau très fort pour augmenter l'emprise de la société du contrôle. Préparons-nous-y. La guerre totale est revenue, comme en 14-18, comme en 39-45. Les nouveaux lieux de bataille sont les canaux d'information. Les obus, ce sont les "news". Pour le contrôle des esprits. Puis des corps. C'est donc cela, la troisième guerre mondiale. Les moyens de publicité et de propagande déployés dans le camp du développement sont, je le dis comme je le vois, des moyens de guerre. J'utilise le terme "camp du développement". Le mot "développement" n'existe pas dans les langues indigènes. En Afrique par exemple, on appelle cela "le rêve du blanc". C'est le comportement de Christophe Colomb qui se perpétue, la conquête des territoires, des corps et des esprits par des malades atteints de cannibalisme. Cette guerre est asymétrique, c'est-à-dire que le camp du développement dispose de bien plus gros moyens que les simples gens qui peinent à s'organiser en plus de leur quotidien ("l'inertie du peuple est la forteresse des tyrans", Machiavel). Les gens, encore libres de penser, disposent d'Internet pour contrer la propagande. C'est une partie de leurs espoirs mais c'est aussi leurs chaînes. Plus on passe de temps sur Internet, et moins on en passe à construire notre vie en commun sur place, notre résistance en commun. Il ne faudrait pas qu'Internet aujourd'hui soit dans les effets comparable à l'alcool vendu aux tribus amérindiennes du XVIè siècle. E. Macron a déclaré "nous sommes en guerre". Il n'a pas dit la formule consacrée : "au nom du peuple français, je déclare la guerre au SARS-COV-2" ! Non. Lui et ses amis globalistes ("nous") sont en guerre contre la spiritualité intérieure de chacun, la culture locale de chacun, les communautés indigènes, tout ce qui pense et existe par soi-même. Le problème est que c'est une partie de nous qui veut cette conquête globaliste : nos besoins en sécurité nous invitent à laisser ceux qui en ont envie à décider pour nous. Comme une verrue apparue sur la main : si vous la charcutez avec un scalpel, vous vous abîmez, ça fait mal ! Aussi notre réponse ne devrait pas être violente dans l'esprit mais ferme, et surtout désintéressée. "Et quand il veut serrer son bonheur, il le broie". Aragon Accepter la situation, la voir comme elle est et non pas comme on voudrait qu'elle soit. C'est déjà un début de solution pour moi. Et partager le constat, de manière désintéressée. Amitiés. |
Transmission personnelle le
31/05/2021 d'un article par Alain SAGAULT
Sites : sagault.com ; ateliersdartistes.com/-LE-GLOBE-DE-L-HOMME-MOYEN-.html
« Il devient urgent d'être libres !
»
Ces nouvelles mesures sont tombées comme un couperet et nous plongent aujourd’hui dans un état de désarroi, de vide, de tristesse, alimentant un vaste sentiment d’impuissance et de colère. Depuis 1 an et demi, nous essayons d’être solidaires, réactifs, de nous adapter en préservant le désir de créer, de partager avec les publics, nos visions du monde, nos œuvres d’art, nos sensibilités. Il y a eu déjà beaucoup de casse. De nombreuses compagnies ont disparu de la circulation, des artistes ont jeté l’éponge, des équipes techniques, administratives, entières, ont été broyées par la gestion de la crise et plongées dans des situations de grande précarité. L’épuisement est là et ces dernières mesures extrêmement coercitives sont venues alourdir et complexifier une situation morale et économique déjà très fragile. Nous comprenons le contexte sanitaire et nous avons à cœur de lutter contre l’épidémie. L’art est un moyen d’accroître notre immunité collective, de préserver l’espace du sensible, de prendre soin de l’intime, de se questionner et d’aller vers l’autre, sans relâche. Nous sommes persuadés qu’en créant, en véhiculant des visions du monde ouvertes, multiples, hétéroclites, nous donnons aussi des outils aux uns et aux autres pour se construire, se renforcer, rêver et se projeter. Mais aujourd’hui, la question du passe sanitaire nous met dans une situation éthiquement insoutenable : il suscite des divisions, beaucoup de violence et d’incompréhension. Parce qu’ils souhaitaient prendre le temps de la réflexion ou tout simplement parce qu’ils n’étaient pas prêts à appliquer cette mesure, certains d’entre nous se retrouvent isolés, ont perdu leur travail, ont dû abandonner leurs projets, leurs partenaires de jeu. Dans ce contexte abrupt (mesures prises en plein été, alors que des festivals étaient en cours, des contrats engagés, des tournées lancées), il ne s’agit plus seulement de s’adapter, de réagir, de chercher des solutions, d’avancer ensemble… Cela nous l’avons déjà fait. Et encore une fois, nous ne sommes pas anti-vaccins, mais nous ne sommes pas non plus des babas cool libertaires, individualistes et inconscients. Nous sommes des artistes face à une crise qui dépasse les enjeux sanitaires et qui questionne notre propre rapport à l’art. C’est à cet endroit, profond, que nous nous révoltons. Se faire biper pour voir un spectacle, présenter ses papiers d’identité, nous apparaît comme l’apothéose d’un système capitaliste outrancier, sans limites. Cet acte de contrôle entre en contradiction avec notre désir de créer, de penser l’art comme un espace-temps ouvert à tous. Entrer dans une salle de spectacle ou aller voir un spectacle dans la rue, est d’abord un élan personnel qui doit s’affranchir de toute contrainte. L’espace de la représentation n’est pas un supermarché. Cela doit rester un espace sans code barre, un espace du sensible, du possible, un espace dédié à l’imaginaire, un espace où il est possible de se rendre pour des raisons intimes, profondes, invisibles. Il devient urgent d’être libre et de pouvoir aller et venir à sa guise. Et après le passe sanitaire, quelles seront les autres mesures pour nous abasourdir, pour nous diviser, pour nous faire taire ? Si ces mesures d’urgence sanitaires s’accompagnaient de mesures d’urgence écologiques, d’une mise en place de lois visant à l’égalité réelle entre tous, d’une vision du monde permettant à chacun de manger à sa faim et de bien manger, afin de se constituer une immunité physique, psychologique, mais aussi mentale, morale, intellectuelle et sensible, alors nous serions tous en train de courir pour nous faire vacciner. Parce que derrière il y aurait l’espoir d’une société qui évolue vers de la beauté, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Mais nous sommes sans cesse renvoyés à notre propre sentiment d’impuissance, comme à une fatalité. Nous sommes affaiblis par un système qui n’a plus rien de démocratique. À quel moment avons-nous été concertés sur ces mesures ? Leurs enjeux ? Leurs impacts directs sur nos vies et sur celles de nos œuvres ? Nous refusons aujourd’hui, en écrivant cette tribune, de céder à ce sentiment d’impuissance. L’art est ce qui permet de rêver à un monde meilleur, d’ouvrir des possibles ; mais ce rêve n’est pas qu’un rêve d’imagination, c’est un rêve qui s’accompagne du désir concret de le mettre en œuvre. Un spectacle, s’il n’est là que pour divertir, faire passer le temps, occuper les corps et les esprits, s’il devient un écran entre nous et le monde, comme la télévision, si la puissance du vivant est niée ; alors il ne devient qu’un spectacle affligeant, au service d’une idéologie libérale, dévastatrice. Si au nom d’une crise sanitaire, la seule solution est la coercition, le contrôle des masses ; si au nom du collectif, on protège un système consumériste et individualiste avant tout ; alors c’est ouvertement le signe que la démocratie est bafouée, sans vergogne, c’est une société qui affiche qu’elle nie l’espace du sensible. Il n’y a rien de collectif, de responsable, dans cette attitude. Juste l’affirmation d’une uniformisation qui produit de la souffrance, de la division, du vide. Nous refusons aujourd’hui cette mesure parce qu’elle est le témoin d’une démocratie en crise, d’un monde qui contraint les artistes, les créateurs, les spectateurs, les êtres humains à se plier pour garder l’illusion d’être libre. Mais être libre, ce n’est pas pouvoir aller au spectacle, boire un café ou faire ses courses en présentant patte blanche. Ce n’est pas continuer à consommer à tout prix. Ce n’est pas tenter de survivre dans un monde qui va mal. C’est vivre dans ce monde, en accord avec soi-même, c’est sentir qu’en créant, en pensant, en se questionnant, d’autres rapports au monde sont possibles et que nous avons le pouvoir de le changer. C’est rencontrer les autres et échanger, laisser les pensées se "contaminer" les unes les autres, aller vers l’autre sans avoir la peur au ventre d’être rejeté. L’acte de créer échappe à tout contrôle. L’espace de jeu est un espace de remise en question qui doit rester sain, prometteur, rempli d’espoir. Le passe sanitaire est une horreur parce qu’il nous éloigne les uns des autres sous couvert de nous protéger d’un virus. La véritable maladie aujourd’hui, c’est la peur et l’état de faiblesse dans lesquelles les êtres sont maintenus et une lente mais mortifère déshumanisation de toute relation au monde, à l’autre et à soi-même. COLLECTIF D'ARTISTES
|