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Votre vorace dos lune messire Est-il la lanterne de vos girouettes Ah ! votre bon dos messire Est un épanchoir de tristesse
A vos champs de bataille La vermine qui n'est pas en reste Nous ramène les prouesses Messire la guerre vous dépêche
De votre bon droit cité Aux nécessités que l'on paie Les sentiments sont outrés Messire l'on dit que du vrai
Vous empoisonnez le verbe Messire tout comme les prés C'est un fait qu'ainsi conté Votre métier est un peu risqué
Vous galopez messire Sur les grands chevaux De vos rages et de vos désirs Qui nous font bien des plaies
Il en est ainsi des caquets Grands hommes soi-disant Qui font les hauts et les bas Pour nous allonger
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Messires nos messieurs Vous êtes devenus avec le temps Politiques en nos assemblées Ruminants et baveux
Et vous repiétinez nos vies Sinon nos corps et nos esprits Dominants croquemitaines Et capitaines d'industrie
Car la faute c'est du gueux A croquer sous vos pieds Toujours pareils en fait A voler votre air très précieux
Un jour la Roue se déplacera On vous refera le coup encore De réduire vos prétentions Pour recommencer la société
Vos titres de noblesse alors Argent et situation Ne vous serviront à rien Qu'offrir des bulles dans nos bains
Car c'est la nature qui commande Messires nos messieurs En dernière instance et recours Elle seule fait les privilèges
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